Né en 1967, Christophe Barbier a découvert le théâtre à l'adolescence. Il crée une compagnie amateur, Yilderim, en 1984, avant de prendre en 1988 la direction de la troupe de l'Ecole normale supérieure de la rue d'Ulm, puis de créer en 1991 le Théâtre de l'Archicube, qui rassemble d'anciens élèves de Normale Sup’. Les spectacles du Théâtre de l'Archicube, plus de cinquante en vingt-cinq ans, dont Christophe Barbier a assuré toutes les mises en scène, ont mené la troupe à travers la France, mais aussi à l’étranger.
Depuis 2005 ont ainsi été produits :
en 2005 Peines d’amour perdues, de William Shakespeare ; en 2006, L’Impromptu de Versailles, suivi de George Dandin, de Molière, ainsi que Ça, c’est Sacha ! et Sacha chez soi, autour de Sacha Guitry ; en 2007, Le Souper, de Jean-Claude Brindille ; en 2008, Un Chapeau de paille d’Italie, d’Eugène Labiche, Art, de Yasmina Reza et L’Entretien de M. Descartes avec M. Pascal le jeune, de Jean-Claude Brisville. Pour la saison 2009-2010, le théâtre de l’Archicube a joué Sacha, c’est chouette !, Lorenzaccio, d’Alfred de Musset, et Le mariage forcé, Le Sicilien et Les Précieuses ridicules, de Molière ; en 2011, Macbeth, de William Shakespeare ; en 2012 Ce Soir on improvise, de Luigi Pirandello ; en 2013, pour les vingt ans de la troupe, Le Malade imaginaire, de Molière ; en 2014 la reprise de Monsieur Chasse !, de Georges Feydeau, et les pièces en un acte de Georges Courteline (La Paix chez soi, La Peur des coups, La Voiture versée, Les Mentons bleus, Monsieur Badin), d’Eugène Labiche (La main leste, Brûlons Voltaire !) et de René de Obaldia (Le défunt, Edouard et Agrippine, Le Grand Vizir, Poivre de Cayenne). Il y a aussi cette année-là L’Illusion conjugale, d’Eric Assous. En 2015, trois pièces de Jean Anouilh sont au programme : Humulus le muet, La Belle vie, Episode de la vie d’un auteur. L’Archicube crée aussi Coups de Théâtre, de Jacques Attali, rebaptisée ensuite Présents parallèles. En 2016, la troupe ajoute à son répertoire Sganarelle ou le Cocu imaginaire, de Molière.
Par ailleurs, Christophe Barbier a écrit La Guerre de l'Elysée n'aura pas lieu (2001-2002, Comédie Caumartin, Théâtre Trévise, Olympia ; publiée chez Grasset), Histoire de la Comédie-Française (2012, représentations à la Comédie-Française dans une mise en scène de Muriel Mayette) et Tout le théâtre en 44 minutes (2015, représentations à Paris au théâtre des Mathurins, à Brive, Arcachon et Guéthary). Il est aussi l'auteur du Dictionnaire amoureux du Théâtre (Plon, 2015).
Comme acteur, il a joué à quelques reprises avec des professionnels : au théâtre dans La main passe, de Georges Feydeau (mise en scène Mitch Hooper) et dans Faisons un rêve, de Sacha Guitry (mise en scène Anthéa Sogno) ; à la télévision dans L'Etat de Grâce (France 2, réalisation Pascal Chaumeil, 2006) et dans un épisode de Profilage (TF1, 2015) ; au cinéma dans Doutes (réalisation Yamini Kumar, avec Benjamin Biolay et Suliane Brahim).
Enfin, après avoir co-écrit et interprété avec Marc Jolivet, Claude Posternak et Gérard Miller deux spectacles sur la présidentielle de 2012, Tout ce que vous devez savoir avant de voter, il a co-écrit et interprète depuis 2013 avec Marc Jolivet le spectacle Rêvons !, joué dans une quarantaine de villes en France.
Théâtre de Poche-Montparnasse, Paris
Une soirée de folie avec le maestro du Second Empire.
Théâtre de Poche-Montparnasse, Paris
Le 15 Avril 2019, la flèche de Notre-Dame de Paris s’effondrait pendant que la charpente s’embrasait. Cinq ans après, Claude Aufaure, François Marthouret, Samuel Labarthe et Christophe Barbier lisent en alternance les textes que Sylvain Tesson écrivit sur son lien à la cathédrale.
Théâtre de Poche-Montparnasse, Paris
Christophe Barbier raconte une représentation, du maquillage jusqu’aux rappels, en passant par le trac, les trois coups ou le trou de mémoire, et en multipliant les digressions et les escapades parmi des extraits de pièces parlant elles-mêmes du théâtre.
La Scène Libre, Paris
Ces 10 lettres ne sont pas une œuvre de paix. Elles ne tentent pas de renouer le dialogue. Elles l’enterrent. Au profit de la réflexion.
Théâtre de Poche-Montparnasse, Paris
Christophe Barbier raconte une représentation, du maquillage jusqu’aux rappels, en passant par le trac, les trois coups ou le trou de mémoire, et en multipliant les digressions et les escapades parmi des extraits de pièces parlant elles-mêmes du théâtre.
Théâtre de Poche-Montparnasse, Paris
Convaincre le Conseil impérial d’Autriche de restaurer la gloire de Mozart, treize ans après sa mort : telle est la mission du diplomate Von Nissen, grand admirateur du compositeur. Pour défendre le génie de Mozart, quoi de mieux que sa propre musique ? Le verdict est au public !
Théâtre de Poche-Montparnasse, Paris
Faut-il interdire Les Diaboliques, sulfureux recueil de Nouvelles qui menace les bonnes mœurs ? Christophe Barbier se saisit de cette œuvre culte et théâtralise la polémique autour du thème indémodable de la morale.
Théâtre de Passy, Paris
À travers l’histoire de cet amour improbable, c’est le portrait d’une Chanel mal connue que trace Mademoiselle Chanel, en hiver : une femme de chair et de passion, amoureuse mais à l’humour destructeur, bannie mais à l’ambition intacte. Grande prêtresse de la mode, Mademoiselle Chanel est également une magnifique héroïne romanesque.
Théâtre de Poche-Montparnasse, Paris
Convaincre le Conseil impérial d’Autriche de restaurer la gloire de Mozart, treize ans après sa mort : telle est la mission du diplomate Von Nissen, grand admirateur du compositeur. Pour défendre le génie de Mozart, quoi de mieux que sa propre musique ? Le verdict est au public !
Théâtre de Passy, Paris
À travers l’histoire de cet amour improbable, c’est le portrait d’une Chanel mal connue que trace Mademoiselle Chanel, en hiver : une femme de chair et de passion, amoureuse mais à l’humour destructeur, bannie mais à l’ambition intacte. Grande prêtresse de la mode, Mademoiselle Chanel est également une magnifique héroïne romanesque.
Théâtre du Petit Montparnasse, Paris
Plongez dans les coulisses du pouvoir et découvrez la nature des relations subtiles entre Chirac et Mitterrand, oscillant entre rivalité, estime mutuelle et lien presque filial.
Théâtre du Petit Montparnasse, Paris
Théâtre de Poche-Montparnasse, Paris