Imaginé par Vincent Dumestre et Cécile Roussat, le Carnaval Baroque renoue avec l’énergie, l’enchantement et le grotesque de la fête des fous. Jongleurs, équilibristes, voltigeurs, funambules, arlequins accompagnés par les musiciens du Poème Harmonique font revivre l’ébullition de ce carnaval de légende. Un véritable hymne à la joie, où extravagance et beauté ne font qu'un.

Imaginé par Vincent Dumestre et Cécile Roussat, le Carnaval Baroque renoue avec l’énergie, l’enchantement et le grotesque de la fête des fous. Jongleurs, équilibristes, voltigeurs, funambules, arlequins accompagnés par les musiciens du Poème Harmonique font revivre l’ébullition de ce carnaval de légende. Un véritable hymne à la joie, où extravagance et beauté ne font qu'un.

Carmen pourrait se résumer par cette phrase : « Elle le quitte, il la tue ». La phrase choque, elle est pourtant le reflet d’une réalité quotidienne, Carmen dans la mise en scène de Jeanne Desoubeaux compose un passionnant paysage politique.

Une formation de gendarme réserviste, un cours d’autodéfense féministe, un tirage au sort, une carte de tarot qui ne porte pas de nom, une manufacture de tabac, un paysage entre chien et loup, des ukulélés, une corrida, une coulisse.

Vincent Dumestre propose à nouveau Les Leçons de ténèbres de François Couperin, qui représentent l’un des sommets de l’art sacré français du début du XVIIIème siècle. A la Chapelle Royale.

Imaginé par Vincent Dumestre et Cécile Roussat, le Carnaval Baroque renoue avec l’énergie, l’enchantement et le grotesque de la fête des fous. Jongleurs, équilibristes, voltigeurs, funambules, arlequins accompagnés par les musiciens du Poème Harmonique font revivre l’ébullition de ce carnaval de légende. Un véritable hymne à la joie, où extravagance et beauté ne font qu'un.

Vincent Dumestre propose à nouveau Les Leçons de ténèbres de François Couperin, qui représentent l’un des sommets de l’art sacré français du début du XVIIIème siècle. A la Chapelle Royale.

Vincent Dumestre propose à nouveau Les Leçons de ténèbres de François Couperin, qui représentent l’un des sommets de l’art sacré français du début du XVIIIème siècle. A la Chapelle Royale.

On n'arrête pas le théâtre. On n'arrête pas les artistes, les rêves, les rencontres, les folies, la beauté, les textes, les clowns… On n'arrête pas le théâtre, festival d'été, 10ème édition, à L'étoile du nord et hors-les-murs.

Six très belles pages du répertoire lyrique interprétées chacune par une jeune compagnie pour découvrir l’opéra en famille ou continuer de l’aimer entre amis.