Avec les quatorze interprètes-danseur.se.s de la compagnie norvégienne Carte Blanche, la chorégraphe Eszter Salamon poursuit sa série des « monuments », remémoration de l’histoire et invitation à en écrire d’autres. Dans The Living Monument, les figures qui habitent les lieux bâtissent des paysages monochromes où le temps se distend, où la couleur devient une force physique. Dans le cadre du Festival d'Automne à Paris.

Le chorégraphe Fouad Boussouf a l’art de propulser sur le plateau du théâtre l’énergie incandescente du collectif. Dans sa nouvelle création Fêu, il poursuit son exploration du groupe et de la communion pour nous faire ressentir la force évocatrice du brasier.

Après le succès de sa trilogie Pode Ser / Se faire la belle / C’est toi qu’on adore présentée la saison dernière, Leïla Ka revient avec sa première pièce de groupe. Maldonne explore l’énergie libératrice qui se dégage de la force d’un collectif de femmes. À partir de 14 ans.

Après le succès de sa trilogie Pode Ser / Se faire la belle / C’est toi qu’on adore présentée la saison dernière, Leïla Ka revient avec sa première pièce de groupe. Maldonne explore l’énergie libératrice qui se dégage de la force d’un collectif de femmes. À partir de 14 ans.

Dernier volet de la trilogie chorégraphique de Sharon Eyal, après OCD Love et Love Chapter 2. Un voyage intense et enivrant à travers les hauts et les bas des relations humaines.

A partir de 7 ans

Avec trois danseurs et un DJ sur le plateau, la chorégraphe Christina Towle fusionne le geste sportif du basket, la danse contemporaine teintée de hip-hop et la musique électro live pour un « ballet match » physique et rythmé.

Découvrez un entretien d’embauche mené par deux danseurs comédiens animés par l’envie irrépressible d’exprimer ce qui est habituellement tu. Entrez dans le monde parallèle et loufoque d’En pièce jointe ! À partir de 8 ans.

Avec Love Chapter 2, Sharon Eyal et son complice Gai Behar signent une pièce envoûtante, rythmée par les percussions électroniques d’Ori Lichtik. Une œuvre enivrante jusqu’à l’extase !

Après l'immense succès de Via Kanana, leur collaboration avec l’artiste sud-africain Gregory Maqoma, les danseurs de Via Katlehong ont souhaité confier leur prochaine création à deux talents européens : Amala Dianor et Marco Da Silva Ferreira. Dans le cadre de la 11ème édition du festival Kalypso.

Après La Ruée, performance collective réunissant une quarantaine d’artistes, Boris Charmatz crée et interprète un solo. Une chorégraphie mentale et épurée, seulement accompagnée d’un filet de souffle, qui transporte mélodies familières et gestes en sommeil. Dans le cadre du Festival Les Singulier·es 2024.

Sur un sol en rotation qui formule une injonction au mouvement, les six danseurs-acrobates du collectif tentent malgré tout de faire corps commun !

Après Ulysse, en 1981, et un long voyage, Jean-Claude Gallotta arrive à Pénélope. Plus combative que ne le disent les mythes, Pénélope danse librement, s'enflamme et vit.

En explorant les différents enjeux du toucher, la chorégraphe Laura Bachman dessine une histoire des corps. Elle danse Ne me touchez pas avec Marion Barbeau, en complicité avec les musiciens Vincent Peirani et Michele Rabbia.

Est-ce une remise à zéro ? Est-ce l’avenir ? Après leur disparition, la forme et l’ordre renaissent sur scène. L’œuvre la plus ambitieuse d’Oona Doherty à ce jour.

Le chorégraphe Kader Attou, dans sa dernière création, choisit de s’amuser à rêver, à redevenir enfant et à accueillir ses souvenirs. À partir des odeurs ancrées dans sa mémoire émotionnelle, il souhaite donner vie à ses souvenirs et aux personnages qui l’habitent. À partir de 5 ans.

Elles sont huit et ne forment qu’un : un ballet de house dance dans lequel chacune de leur personnalité crève l’écran. Pulsion de vie et éloge du groupe, One Shot est une pièce flamboyante à l’énergie contagieuse !

Dernier volet d’une trilogie sur le monde arabe, Oüm provoque la rencontre, à plus de mille ans d’écart, entre la chanteuse égyptienne Oüm Kalthoum et le poète persan du XIe siècle Omar Khayyam. Une transe poétique pleine de fougue et de sensualité ! Dès 7 ans.

Le ballet de chambre My soul is my visa est un spectacle intime, un peu baroque, un peu Disco, un peu Blues, et tente de communiquer au public par les gestes du corps aussi bien que par le regard. La danse est accompagnée au piano avec des musiques de Meredith Monk, Beth Gibbons, Tom Johnson, Nils Frahm et d’autres.

Après L’Onde, présentée au Festival d’Automne à Paris en 2020, Nacera Belaza est, avec cette création, à l’endroit même où sa recherche l’a toujours menée, là où l’immaîtrisable fait advenir l’imprévisible, un autre possible.

C’est à un double dévoilement et à une déconstruction des stéréotypes qu’invite ce plateau partagé. Balkis Moutashar et Solal Mariotte nous proposent deux solos épatants qui mettent la liberté toute nue. Dans le cadre du festival Suresnes Cités Danse. À partir de 16 ans.

Artiste d’exception aux multiples talents, Julia Perazzini imagine dans Le Souper un dialogue avec son frère décédé, transformant notre peur commune de la mort en puissance d’activation du vivant.

Émilie Lalande revisite Petrouchka, célèbre ballet russe créé au début du XXe siècle sur la musique de Stravinsky. Entre danse et intrigues amoureuses, elle crée une rêverie contemporaine qui fait réfléchir sur notre monde. À partir de 7 ans.

En 2017, Mickaël Le Mer présentait Rouge à Suresnes avec une équipe de danseurs masculins. Ce complice du festival Suresnes Cités Danse revient aujourd’hui avec Vivantes, nouvelle variation autour de la couleur rouge, cette fois-ci avec une distribution exclusivement féminine. Dans le cadre du festival Suresnes Cités Danse. À partir de 6 ans.

Dorothée Munyaneza fait le lien entre les générations et les histoires dans son double spectacle poétique qui mélange chant et danse.

Héla Fattoumi et Éric Lamoureux imaginent une scénographie vidéo surprenante, TOUT-MOUN, en créole « chacun et tout le monde », qui a pour point de départ les écrits d’Édouard Glissant.

Après 9000 Pas (2015) et Songlines (2018), cette nouvelle création vient clore une trilogie dédiée aux mouvements universels. Qu’il s’agisse d’une scène de liesse ou d’une fête de famille, d’une manifestation sportive ou d’une procession religieuse, neuf danseurs singuliers se fondent dans la peau de ces clichés et redonnent chair à ces images toujours authentiques, brutes et capturées sur le vif.

Johanna Faye et Saïdo Lehlouh recherchent avant tout la création d’un langage commun. En s’appuyant sur l’authenticité de chaque interprète, le duo de chorégraphes ouvre un dialogue inédit entre des cultures différentes.