Traditionnel

Nina Laisné s’associe au chorégraphe argentin Nestor « Pola » Pastorive pour célébrer l’œuvre de la pianiste et compositrice Hilda Herrera. Réinterprétant des archives musicales et vidéos, la délicatesse et la puissance du corps du danseur dialoguent avec les attaques énergiques du piano. La rencontre entre deux figures majeures du folklore argentin.

Nina Laisné s’associe au chorégraphe argentin Nestor « Pola » Pastorive pour célébrer l’œuvre de la pianiste et compositrice Hilda Herrera. Réinterprétant des archives musicales et vidéos, la délicatesse et la puissance du corps du danseur dialoguent avec les attaques énergiques du piano. La rencontre entre deux figures majeures du folklore argentin.

Venez découvrir le captivant spectacle de danse dramatique Wing Chun, chorégraphié par deux des plus grands éminents chorégraphes d'avant-garde en Chine, un festin artistique où les arts martiaux s'entremêlent avec la grâce et la beauté de la danse.

En Irlande, trois est un nombre magique qui porte chance. Un Leprechaun vous proposera de réaliser trois voeux si vous l'apercevez, le trèfle irlandais est composé de trois feuilles et maintenant Irish Celtic revient avec Le chemin des légendes, troisième et dernier volet de sa trilogie.

Sur le plateau, deux femmes assises face public mangent des graines de tournesol et semblent s’amuser de cette situation quotidienne un peu absurde. Le chant et la danse éclatent brusquement et enveloppent l’espace. Ces pas, ce sont ceux de la chorégraphe et danseuse María del Mar Suárez, dite La Chachi ; cette voix, elle appartient à la chanteuse Lola Dolores.

tiaen tiamen signifie « moi et nous » en langage paiwan, une ethnie indigène du sud-est de Taïwan. Sur une musique électro psychédélique et plongés dans une ambiance visuelle faite de projections vidéos et de lasers, les danseurs racontent la jeunesse et l’exploration de soi, dans un juste équilibre entre culture aborigène et visions futuristes.

Celtic Legends fait son grand retour avec un tout nouveau spectacle, plongeant au cœur de la tradition et de la puissance indomptable de l’île d’Émeraude ! Que vous soyez amateur de danse, de musique ou simplement à la recherche d’une soirée inoubliable, plongez dans l’univers magique de la danse irlandaise. Spectacle en mars 2025.

Anne Nguyen poursuit sa recherche sur les origines des danses urbaines. Avec [Superstrat[- terme qui désigne les traces laissées dans une langue par une autre langue - la chorégraphe évoque les liens forts entre l’Afrique et l’Amérique qui ont donné naissance à la culture hip hop. Pour la première fois Carmel Loanga est seule sur scène et relève le défi de s'exposer tout en vérité.

La nouvelle chorégraphie de Nathalie Pernette, Wakan* – Un Souffle, est née de l’envie de créer un espace spirituel pour le mouvement dansé en s’inspirant des danses sacrées du monde : Kut de Corée, Teyyam de l’Inde, Apsara du Cambodge, derviches tourneurs du Moyen-Orient et bien d’autres…

SINNOI, quatuor hétéroclite et singulier, délivre avec The New Path, une musique unique en son genre, brouillant joyeusement les frontières entre les styles, au rythme de compositions délicieusement hybrides. Ce subtil alliage de jazz, musique traditionnelle coréenne et sons électroniques rend leurs morceaux à la fois rares et originaux.

Dans sa nouvelle création Odyssée, le Bagad de Lann-Bihoué propose au public une épopée musicale contemporaine et un spectacle son et lumière inédit, mêlant la tradition à l’innovation.

Dans Save the last dance for me, Alessandro Sciarroni s’intéressait à la polka chinata, une danse oubliée d’Italie. Ici, il invoque des chants montagnards historiques italiens et des chants patriotes, les faisant perdurer dans une puissante et émouvante mise en valeur. Dans le cadre du Festival d’Automne à Paris

Missaghju est une formation musicale née en 1992. Entre chants polyphoniques purement traditionnels, mais aussi les compositions personnelles plus modernes, se mêleront ambiances latines, mélancoliques, parfois jazzy, marquant ainsi le contraste et l’esprit d’ouverture du groupe.

Avec ce nouveau ballet, douce allégorie de l’impermanence de la vie, le Taïwanais Po-Cheng Tsai marque à nouveau les esprits par sa liberté de ton et de style.