Musique du monde

Quand Catherine Lara rencontre la Cie Kumo, les musiques du monde rencontrent le break dance pour un spectacle détonant.

Pour le troisième volet du Cabaret de l’exil, Bartabas rend hommage aux femmes persanes. Interdit aux enfants de moins de 7 ans.

Un voyage musical autour du monde mené par une petite mouette qui découvre, grâce à ses rencontres, la richesse de la diversité.

Dans Bate Fado, Jonas&Lander nous transportent au XIXe siècle à Lisbonne où le fado avait sa propre danse, sorte de jeu de claquettes énergique et virtuose. Avec quatre danseurs, quatre musiciens et un chanteur de fado, le duo la réinterprète sous forme de concert dansé.

Dans Bate Fado, Jonas&Lander nous transportent au XIXe siècle à Lisbonne où le fado avait sa propre danse, sorte de jeu de claquettes énergique et virtuose. Avec quatre danseurs, quatre musiciens et un chanteur de fado, le duo la réinterprète sous forme de concert dansé.

Avec la création Dilta Sha’Bi, la chanteuse égyptienne Hend ElRawy et le quartet Mazalda proposent une approche exceptionnelle et sensible des différents courants de la culture égyptienne. En deuxième partie, le chanteur tunisien Nidhal Yahyaoui renoue avec les chansons du terroir fredonnées par les « Hattaya », ces travailleurs saisonniers des contrées reculées du pays.

S’inspirant des mariages de son enfance, des récits d’exaltation chez les soufis du XIIIe siècle, des contes du Moyen-Orient et de la transe rurale de Jean Giono, l’auteure comédienne Hatice Özer accompagnée de trois musiciens virtuoses nous convie à un mariage sans mariés, où spectatrices et spectateurs seront les convives de cette fête aux couleurs de transe orientale.

S’inspirant des mariages de son enfance, des récits d’exaltation chez les soufis du XIIIe siècle, des contes du Moyen-Orient et de la transe rurale de Jean Giono, l’auteure comédienne Hatice Özer accompagnée de trois musiciens virtuoses nous convie à un mariage sans mariés, où spectatrices et spectateurs seront les convives de cette fête aux couleurs de transe orientale.

Coup fatal est une pièce musicale à l’énergie contagieuse, dans laquelle des musiciens, pour la plupart originaires de la République démocratique du Congo, s’emparent du répertoire baroque pour composer un véritable hymne à la joie. Frénétique et bouleversant.

Coup fatal est une pièce musicale à l’énergie contagieuse, dans laquelle des musiciens, pour la plupart originaires de la République démocratique du Congo, s’emparent du répertoire baroque pour composer un véritable hymne à la joie. Frénétique et bouleversant.

En Irlande, trois est un nombre magique qui porte chance. Un Leprechaun vous proposera de réaliser trois voeux si vous l'apercevez, le trèfle irlandais est composé de trois feuilles et maintenant Irish Celtic revient avec Le chemin des légendes, troisième et dernier volet de sa trilogie.

1870, la Commune de Paris, 1871, la révolte de Mokrani en Algérie, 1878, l'insurrection kanak en Nouvelle-Calédonie, trois récits qui s'entrecroisent. Un spectacle musical où les mélodies traversent les hémisphères pour créer un horizon commun. À partir de 15 ans. 

35 représentations consécutives à guichets fermés à Paris. 15 représentations consécutives complètes au Madison Square Garden. 100 danseurs et 2 500 costumes en un seul spectacle. Légende de la Géorgie le ballet Sukhishvili à Paris!     

Que nous disent ces traces de pas de Néandertal, vieilles de 80 000 ans ? Les circassiens Matias Pilet et Fernando González Bahamóndez, sous le regard de l’artiste Olivier Meyrou, nous invitent à explorer nos origines, en jouant de l’acrobatie comme d’un voyage dans le temps.

Sur le plateau, deux femmes assises face public mangent des graines de tournesol et semblent s’amuser de cette situation quotidienne un peu absurde. Le chant et la danse éclatent brusquement et enveloppent l’espace. Ces pas, ce sont ceux de la chorégraphe et danseuse María del Mar Suárez, dite La Chachi ; cette voix, elle appartient à la chanteuse Lola Dolores.

Chanteur soufi, écrivain, poète et slameur devenu porte-voix de la jeunesse égyptienne pendant la révolution de 2011, Abdullah Miniawy fascine par sa voix hypnotisante, son mélange unique de rock, de mysticisme et de jazz.

David Krakauer et sa bande de musiciens calorifères sont accompagnés de Kathleen Tagg, multi-instrumentiste sud-africaine experte dans l’art de combiner les sons acoustiques et les effets électroniques. Un concert qui se veut un antidote au pessimisme et à la morosité !

Pour son concert à La Seine Musicale, le Harlem Gospel Choir rend hommage à la reine de la soul et du rhythm and blues Aretha Franklin, dont les grands succès viendront compléter le répertoire foisonnant de ce chœur qui reste un phare pour plusieurs générations de fidèles.

Djur Djura est de retour. Elle revisite son répertoire afin de poursuivre son combat, transmettre sa culture et son engagement aux jeunes générations. Dans le cadre de la Biennale Franco-Algérienne.

Depuis plus de 10 ans dans le milieu de la world music, Samira Brahmi, « la Diva orientale » va offrir un voyage musical énergique et intelligent, un tourbillon coloré irrésistiblement festif ! Dans le cadre de la Biennale Franco-Algérienne.

Kayhan Kalhor et Erdal Erzincan sont deux maîtres incontestés du kamancheh et du bağlama. Ces deux artistes nous font vibrer au gré de séquences dialoguées entre poésie, transe et sensualité.

SINNOI, quatuor hétéroclite et singulier, délivre avec The New Path, une musique unique en son genre, brouillant joyeusement les frontières entre les styles, au rythme de compositions délicieusement hybrides. Ce subtil alliage de jazz, musique traditionnelle coréenne et sons électroniques rend leurs morceaux à la fois rares et originaux.

La comédienne Hatice Özer choisit pour sa première création de partager la scène avec Yavuz Özer, son père. Une déclaration d’amour filial qui se révèle aussi un vibrant hommage à tous les exilés. Spectacle en turc et en français.

Depuis son précédent opus Aswât (2018), Djazia Satour a renoué avec les sonorités musicales de son Algérie natale, mélangeant aux rythmes ancestraux du bendir, aux mélodies raffinées du banjo et du mondole, les basses et les claviers d’une pop-folk pétillante. 

Missaghju est une formation musicale née en 1992. Entre chants polyphoniques purement traditionnels, mais aussi les compositions personnelles plus modernes, se mêleront ambiances latines, mélancoliques, parfois jazzy, marquant ainsi le contraste et l’esprit d’ouverture du groupe.