Un riche, trois pauvres

Au moment où commence le spectacle, ils sont quatre. Des comédiens, des personnages, des clowns ? on ne sait pas. En tout cas, ils semblentêtre là pour nous offrir quelques petits instants d’humanité. Il recréent tout notre vaste monde. Toujours avec le rire, ou presque…

Un homme, une femme, un fiston, un Mouchel, un subordonné, un auditeur, un monsieur par hasard, une maman, un patron, une femme courtoise, un autre monsieur par hasard, un meneur, des suiveurs, un homme courtois, une passante, la foule, un papa, un non-possesseur, le petit garçon, le quelqu’un qui semble être là, une femme de notre époque, un guignol, etc, etc, etc... Toujours avec le rire, ou presque...

Une suite de sketches (33 séquences) composés de personnages tous aussi différents, colorés, humains les uns que les autres. Des tranches de vie en pointillés. Pointées du doigt par un auteur à la langue pointue. Louis Calaferte, a à son actif, 21 récits, 29 recueils de poésie, 23 pièces de théâtre, 3 essais, 7 carnets. Et 20 ans de censure pour avoir écrit Septentrion.