Ugzu

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Théâtre du Rond-Point , Paris

Du 23 mai au 30 juin 2013
Durée : 1h40 environ

HUMOUR & CAFE THEATRE

,

Coups de coeur

Jean-Claude Leguay, Christine Murillo et Grégoire Oestermann, les joyeux créateurs du Baleinié, reviennent avec leurs inventions ludiques et guettent cette fois-ci les petits bonheurs furtifs, d'où le tracas n'est jamais loin ! Réjouissant !
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Spectacle terminé depuis le 30 juin 2013

 

Photos & vidéos

Ugzu

De

Jean-Claude Leguay

,

Christine Murillo

,

Grégoire Oestermann

Avec

Jean-Claude Leguay

,

Christine Murillo

,

Grégoire Oestermann

  • Les bonheurs furtifs

[ug-zu] (n.m.) : urne dont on ne sait pas quoi faire une fois les cendres dispersées.

Les créateurs du Baleinié, dictionnaire des tracas dont le quatrième tome vient de paraître, reviennent au bercail pour leurs inventions ludiques. Au Rond- Point en 2006, Xu (objet bien rangé mais où ?) précédait de trois ans Oxu (objet qu’on vient de retrouver et qu’on reperd aussitôt).

Jean-Claude Leguay, Christine Murillo et Grégoire OEstermann y peaufinaient les définitions de tous ces soucis qui ponctuent le cours des choses ordinaires, nommaient ce qui n’a pas de nom, créaient des termes. « Connaître le mot qui désigne un tracas soulage et rend la chose plus supportable », expliquent-ils. « Souffrir avec précision c’est mieux savoir vivre mal. »

Ugzu est le troisième spectacle tiré de leurs séances de travail, mais cette fois on ne va pas seulement devoir « suivre une personne qui roule très vite », voyager « côté hublot avec vue sur l’aile », ou répondre à la « personne qui vous demande « qui c’est ? » en regardant une photo de vous plus jeune ».

Cette fois-ci, ils guettent les bonheurs furtifs, des petits coins de paradis. Un peu de sucré dans le fatras des tracas, un monde de douceurs « où les tracas se reposent ».

Un monde où « on arrive en retard le premier », où « la facture est égale au devis ».

Un monde où « on a tous les feux verts ». Oui… ? Sauf qu’on s’est perdu faute d’un feu rouge pour regarder le plan… À vous faire regretter le temps de « l’atarinien » (automobiliste qui passe si lentement au vert qu’il vous laisse le rouge).

  • La presse en parle

« La même exubérance échevelée et irrésistible préside à ce spectacle dans lequel l'éberlué (Grégoire Oestermann), le désenchanté (Jean-Claude Legay) et l'exubérante (Christine Murillo dantesque dans sa caricature d'une scène du mythique film Les Enfants du Paradis) délivrent une partition inventive, désopilante et toujours surprenante. » Froggy’s delight

« Les trois compères stigmatisent et subliment en mots choisis des calamités trop quotidiennes pour qu'on s'y attache, et qui pourtant pourrissent la vie. Il y a infiniment de poésie buissonnière dans leurs inventions lexicales, mises en scène (par eux) au milieu de surréalistes, pimentées d'interventions musicales cocasses et égrénées selon des rythmes variés. Quelle jubilation nous offrent les Murillo-Leguay-Œstermann. » Fabienne Pascaud, Télérama, le 5 juin 2013

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