Orphéon Célesta - De la fuite dans les idées

Paris 9e
du 4 décembre 2008 au 22 mars 2009
1h30

Orphéon Célesta - De la fuite dans les idées

Le plus petit big band du monde, qui marie avec virtuosité humour et jazz de haute volée, swing et cartoon, dévoile ici le making-of de son univers musical insolite, à la fois burlesque et poétique. Jubilatoire !

Humour et jazz de haute volée
Orphéon Célesta
La presse de l'Orphéon

  • Humour et jazz de haute volée

Après Siphonnée Symphonie, La Vocalise en carton et Tatatin !... et voilà, Orphéon Célesta, trio vocal et musical déjanté, revient sur scène, encore plus délirant que jamais, avec De la fuite dans les idées, création mise en scène par Nicolas Lormeau.

Trois musiciens à la recherche du fil conducteur de leur prochain spectacle de music-hall renouvellent les grands standards du jazz, revisitent avec fougue le répertoire classique, détournent objets et situations, inventent un style musical loufoque... Pour ces jazzmen de talent, bricoleurs facétieux et éclectiques, comédiens surdoués qui enchaînent avec précision gags et parodies, c’est fastoche !

Le plus petit big band du monde, qui marie avec virtuosité humour et jazz de haute volée, swing et cartoon, dévoile ici le « making of » de son univers musical insolite, à la fois burlesque et poétique. Jubilatoire !

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  • Orphéon Célesta

Après une carrière de jazzmen plutôt excentriques dans les rues de Paris, jusqu’aux grands festivals internationaux, en passant par les jazz clubs parisiens, les musiciens d’Orphéon Célesta accèdent au grand public en 1986, tout en conservant l’originalité de leur formule bizarroïde : cornet, saxophones, flûte, clarinette, banjo, tuba et voix. Sur une commande des Jeunesses Musicales de France, Emmanuel Hussenot conçoit un spectacle de music-hall pour les enfants : La Préhistoire du Jazz.

A cette occasion, Orphéon Célesta devient aussi un quartet vocal, et révèle ses talents pour la comédie, la mise en scène, l’écriture et la création. En 1989, Orphéon Célesta présente Anoulanouba, son premier spectacle musical et humoristique au Théâtre du Tourtour, puis remplit, en 1993, le Sentier des Halles avec une nouvelle création : Siphonnée Symphonie, prolongée en 1994. En 1990, Emmanuel Hussenot et l’Orphéon reçoivent le Prix Sidney Bechet de l’Académie du Jazz.

A partir de 1991, le groupe tourne à l’étranger (Japon, Taïwan, Amérique du Sud, Afrique, Europe Centrale...), dans les grands circuits culturels et dans les festivals d'humour où il obtient un large succès : Festival de Saint-Gervais (Grand Prix, Prix du Public et Hommage de la Sacem), Paleo Festival (Suisse), Festival Performance d'Acteur (Cannes), Festival Juste pour Rire (Montréal).

Un troisième spectacle les 400 Couacs est créé en 1995 à l'Auditorium des Halles (Paris). En 1996, Orphéon Célesta est sur les planches du Casino de Paris en compagnie des Frères Jacques, avec Chanson Plus, TSF et Le Quatuor.

En 1998, La Vocalise en Carton remporte un grand succès à la Pépinière-Opéra, puis en première partie de Maxime Le Forestier au Casino de Paris, et en tournée nationale. Retour à Paris en 2001 avec Millésime Mi-lézard, présenté à l’Auditorium Saint-Germain des Prés.

En 2002 la rencontre explosive des fondateurs, Emmanuel Hussenot et Patrick Perrin, avec Christian Ponard tourne une autre page d’Orphéon Célesta : nouvelle équipe, création en tournée de Tatatin !.. et voilà (jusqu'en 2005), enregistrement d’une vidéo, d’un CD, et reprise du spectacle jeune public La Préhistoire du Jazz. A partir de mars 2003, le succès du Théâtre Clavel à Paris est suivi de prolongations au Zèbre de Belleville. Puis sur une commande d’ARTE, ils composent et enregistrent la musique du film L’Éléphant, la Fourmi et l’État.

Orphéon Célesta a obtenu le Prix Sidney Bechet de l'Académie du Jazz, le Prix du Public, le Prix de la Sacem et le Grand Prix du Festival d'Humour de St Gervais.

Discographie :
1989 Anoulanouba (Media 7)
1993 Siphonnée Symphonie (Media 7)
1995 La Préhistoire du Jazz (Auvidis)
1995 Best of (JMS / Sony music)
1998 La Vocalise en Carton (Auvidis)
2003 Tatatin!.. et voilà. (Jazzophile)
2006 De la Fuite dans les idées (Jazzophile)

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  • La presse de l'Orphéon

"C'est, au choix, de la poésie mise en jazz, du swing hilarant, de l'harmonie clownesque, mais une chose est sûre : c'est unique. Une formule magique et rythmée qui fait hurmer de rire les jeunes spectacteurs." Marianne

"Un ensemble inégalable, bourré de pêche, de swing, d'humour et de talent! Ils sont à la fois musiciens et comédiens, incroyablement rigoureux et divinement farfelus... Mais contrairement aux apparences, quand il s'agit de jazz, ils ne plaisantent pas !" Le Figaro

"L'un des groupes d'humour musical les plus doués du moment. Avec ces trois-là et leurs instruments à gogo, l’inventivité et la fantaisie musicales sont à la fête. Plein de surprises et d’imagination." Télérama

"Voici des gaillards complètement timbrés qui, avec des instruments abracadabrants et des textes plutôt drôles, s’amusent comme des petits fous. A coups de gags, l’Orphéon Célesta a mis au point un style loufoque et swinguant, trempé dans la chanson, la salsa et le rap : le jazz-cartoon." Le Monde

" Ces artistes n'ont aucune ressemblance physique avec les Chippendales si ce ne sont leurs cordes vocales athlétiques et leurs petits doigts exagérément musclés. Pourtant ce groupe pêchu déchaîne son public et les fou rire. Ces jazzmen inclassables nous font (re)découvrir divers styles musicaux détournés à leur manière. Le jazz, la musique classique ou encore la salsa prennent alors un air de fête grâce à des textes délirants et décapants. Un quatuor tonique à l'humour musical bien senti, farfelu juste comme il faut." Pariscope

" Spécialités: jazz ludique, chansons caustiques, musique gaguesque, salsa grotesque, poésie délirante, imagination débordante, l’Orphéon Célesta c’est le mariage réussi entre Duke Ellington et Tex Avery. Pour le public, 1h30 de sourire et pour le groupe 15 années de plaisir. Autant dire que chacun y trouve son compte. Aucun doute, l’Orphéon c’est à mettre entre toutes les oreilles et à déguster sans modération." Nathalie Hayter, France 3

"L’esprit sérieux reste en coulisses et le trio enchaîne les numéros avec un entrain olympique… Il ne faut pas louper l’épisode de la série Zorro… Fermez les yeux, c’est étonnant." L’Express

"Trois chanteurs musiciens, symphonistes siphonnés qui jouent et se jouent, sans se la jouer, de tout un bastringue dingue. De l’hélicon avec son dresseur au banjo barjot à six mains, en passant par les canettes de bières sifflées et soufflées pour un déconcertant Concerto Carafon. Ces très plaisants triplés marient avec virtuosité, humour et jazz de haute volée, swing et cartoon. C’est de la variété au sens étymologique du terme, un show d’une réjouissante diversité. (...) Les aventures de Zorro pour non-voyants sont un des sets les plus étonnants interprétés par ces Frères Jazz, fils très spirituels d’Armstrong, Boby Lapointe et Tex Avery." Albert Algoud, Le Canard enchaîné

"L’Orphéon a imaginé un spectacle fou, fou, fou à, tenez-vous bien, trois musiciens ! Trois zigotos multicasquettes qui marient avec virtuosité humour et jazz. Un spectacle loufoque qui trouve ses références chez Armstrong, Boby Lapointe et Tex Avery." Le Nouvel Observateur

"Avec leurs instruments extravagants, les trois zigues de l’Orphéon forment un jazz-band complètement siphonné. Emmanuel Hussenot, Christian Ponard et Patrick Perrin sont les rois du pastiche." Le Parisien

"Un spectacle d’une rare intensité, car si la musique se révèle d’une grande beauté, les facéties et les gags pleuvent sur scène." Le Dauphiné

"Un délire dans l’assistance... Avec l’Orphéon Célesta, le jazz traditionnel devient un spectacle complet. Excellents solistes, s’entendant parfaitement autant dans l’improvisation collective que dans la réussite des gags, ils avaient en quelques mesures chauffé la salle à blanc... Un swing endiablé et une maîtrise parfaite des voix et des instruments." Jazz hot

"L’Orphéon Célesta fait l’unanimité de toutes les franges du public, par un de ces “miracles consensuels” dont le jazz de tradition a le secret. Swing, fantaisie, humour et spontanéité sont les atouts majeurs d’un programme éclectique superbement arrangé et interprété... Jubilant." Jazz Magazine

"Ils sont trois, ils sont sympathiques et ils manient instruments, chant et comédie avec la même aisance et le même plaisir. Les grands classiques sont revisités avec humour et les instruments sont customisés, voire complètement inventés. Le spectacle va crescendo, jusqu’à un délire final très amusant. Ils ont du métier et du talent mais ne se prennent pas une minute au sérieux. Leur joie est communicative." Bubble Mag - Le city magazine des parents curieux

"Vous êtes comme votre boîte mail, saturé ? Relax : le plus petit big band du monde est de retour avec un nouveau spectacle qui fait pom-pom-tchack-boum ! Experts en bricolages éclectiques, ces trois jazzmen farfelus suscitent un enthousiasme dont on entrevoit les motifs : un univers musical total loufoque, des chansons de voisinage séduisant par la familiarité des textes, exhalant l’oisiveté et la fantaisie. (...) Le fumet « orphéon », c’est tout cela : un mélange de genres et d’humeurs, de digressions d’acteurs capables de tout, comme de siffler des canettes de bibine pour un « Concerto Carafon », de pastocher « Just a Gigolo » ou de nous étonner avec un numéro de negro spirituals quasi dadaïste. Un bel exercice d’évasion." A Nous Paris

"Emmanuel Hussenot, Patrick Perrin et Christian Ponard forment ce drôle de trio musical au ton burlesque et nostalgique. Leur univers a la physionomie d’un Tati, d’un Yves Robert, d’un Queneau. C’est un brin désuet mais sympathique. Ces farfelus bricoleurs s’amusent et régalent leur public avec leurs facéties vocales et instrumentales. Ça swingue dans une ambiance très cartoon, entre jazz et humour." Pariscope

"À lui seul l’endroit vaut le détour : La Nouvelle Ève est un cabaret de music-hall à la déco kitchissime, situé en plein cœur de Pigalle, à deux pas du célèbre Moulin rouge. Depuis quelques mois, un trio, Orphéon Célesta, se donne en spectacle, et les amoureux d’humour musical en raffolent. Trois jazzmen de talent enchaînent avec une précision d’horloger les gags et les parodies, toujours à la recherche d’effets musicaux originaux et décalés. Pendant un plus d’une heure, on assiste alors à leur dur labeur pour réaliser leur objectif : réaliser une bande-son pour un film avec, à la clé, un gros contrat à Hollywood. Vu la tournure que cela prend, on se dit que ce n’est pas gagné. Mais, voilà, la musique révèle souvent quelques surprises. Loufoque !" Questions de femmes

"À Paris, les trois musiciens de l’Orphéon Célesta renouent avec la tradition du music-hall. Déjanté et divertissant. L’Artiste rappelle qu’il faut éteindre les téléphones portables et décroche pourtant le sien : «Oui, monsieur le directeur de Hollywood, oui nous préparons le spectacle.» On s’en doute, l’homme et ses deux compères sont loin d’être prêts. Ils tiennent là un prétexte pour des « essais » musicaux divers, un show burlesque, entre bossa-nova, jazz et rock. L’ensemble bien mélangé à la sauce humour, saupoudré de poésie et d’insolite. Mis en scène avec brio par Nicolas Lormeau, les trois drôles d’oiseaux, siffleurs de surcroît, cousins des frères Marx et des frères Jacques s’éclatent au trombone, à la guitare, au saxophone, aux casseroles et autres ustensiles ménagers. Parmi les numéros les plus hilarants, vous vous souviendrez de celui où ils revisitent le gospel vêtus de combinaisons noires. Faux clowns, authentiques musiciens, le joyeux trio enterre la morosité ambiante et parvient à chauffer la salle de La Nouvelle Ève... L’ «adagio à Buitoni » et « l’allegro capuccino » dégèlent les esprits les plus chagrins comme dans une bonne vieille émission de feu Jacques Martin. Humeur bon enfant garantie." Le Figaro

"Sous des airs posés et sérieux, ces 3 musicos sont capables des fantaisies les plus délirantes sur leurs instruments de musique. Qu’ils jouent d’un banjo à explosion, d’un tuba aval’tout, d’un pipeau malicieux, ou qu’ils donnent de la voix, ils créent à chaque instant un univers sonore fugitif, qui remplit d’enthousiasme. On admire une virtuosité, une créativité sur fond de rythmes jazzy et d’humour décalé." Studyrama

"Virtuoses de la musique et l’humour, les trois énergumènes de l’Orphéon, «plus petit big band du monde», s’en donnent à cœur joie pour reprendre et détourner, tordre, distordre les grands classiques du jazz." Télérama

"Ces pièces ont un air de fête. Rien de tel qu’un bon fou rire pour digérer la dinde du réveillon et zapper les nuages de la crise. Ils s’amusent en musique. Ils sont trois musiciens, capables de jouer du saxo, du banjo ou d’assurer une sonate au clair de lune avec des bouteilles de bière. Les artistes-bricoleurs d’Orphéon Célesta, jazzmen aguerris, réinventent le swing avec leurs trouvailles. Leur dernier spectacle, « De la Fuite dans les idées », se balade du côté d’Hollywood. On slalome entre le dresseur de tigres, Zorro et une imitation d’éléphant au trombone. Une très bonne initiation à la musique. Allez-y avec les enfants." Le Parisien

"Trois jazzmen de talent, bricoleurs surdoués enchaînent avec précision gags et parodies à la recherche d’effets musicaux originaux. Humour et jazz de haute volée pour une soirée loufoque et jubilatoire." L’Officiel des spectacles

" Autoproclamé « plus petit big band du monde » ou « trio le plus peuplé de la planète », Orphéon Célesta assure à six mains, trois voix et une quinzaine d’instruments un show où jazz, music-hall et comédie s’entrelacent avec une adorable bonhomie et un talent artistique crevant la scène. « Dans le monde du jazz qui nous inspire, « l’entertainment » faisait partie du show musical. ». Des origines du jazz américain, brocardées avec une dérision délectable. Leur spectacle est certes drôle, pétri d’humour verbal, de sketchs et de comique visuel qui le rendent accessible à un public non averti, mais il est surtout musical. Car Hussenot, Perrin et Ponard sont avant tout des musiciens accomplis, de l’espèce de ceux qui peuvent tout se permettre, de l’impro au concerto, avec une précision et une justesse parfaites. Digressant sur tous les thèmes, muni de quelques accessoires et de beaucoup de ressources, avec une espièglerie toute en modestie et en clins d’oeils, Orphéon Célesta est le chantre d’un folklore jazzophile aussi influencé par Amstrong et Cole Porter que par Tex Avery." La Terrasse

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Orphéon Célesta - De la fuite dans les idées – Bande-annonce

Sélection d'avis des spectateurs - Orphéon Célesta - De la fuite dans les idées

RE: Orphéon Célesta - De la fuite dans les idées Le 13 mars 2009 à 08h58

J'appuie le commentaire de Millet: c'est très chouette, de qualité et on se marre! J'invite les familles à y aller également car tous ces petits sketchs poétiques et parfois féériques peuvent inciter les enfants à vouloir jouer d'un instrument. En un mot: allez voir! et faites passer, il faut soutenir ces artistes de talent!

Orphéon Célesta - De la fuite dans les idées Le 19 décembre 2008 à 17h24

J'ai découvert le spectacle hier soir à La Nouvelle Eve, une pure merveille ! Nous avons tous passé un super moment entre rire et musique, je recommande vivement et pour tous les ages en plus !

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RE: Orphéon Célesta - De la fuite dans les idées Le 13 mars 2009 à 08h58

J'appuie le commentaire de Millet: c'est très chouette, de qualité et on se marre! J'invite les familles à y aller également car tous ces petits sketchs poétiques et parfois féériques peuvent inciter les enfants à vouloir jouer d'un instrument. En un mot: allez voir! et faites passer, il faut soutenir ces artistes de talent!

Orphéon Célesta - De la fuite dans les idées Le 19 décembre 2008 à 17h24

J'ai découvert le spectacle hier soir à La Nouvelle Eve, une pure merveille ! Nous avons tous passé un super moment entre rire et musique, je recommande vivement et pour tous les ages en plus !

Informations pratiques - Nouvelle Eve

Nouvelle Eve

25, rue Fontaine 75009 Paris

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  • Métro : Blanche à 218 m (2), Pigalle à 251 m (2/12)
  • Bus : Blanche à 156 m, Pigalle à 266 m
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Nouvelle Eve
25, rue Fontaine 75009 Paris
Spectacle terminé depuis le dimanche 22 mars 2009
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