
Un couple s’achète des amis pour pimenter son quotidien. Une comédie grinçante, absurde et hilarante !
Jacques et Odile s’ennuient. Alors, profitant d’une promotion improbable, ils repartent d’un hypermarché avec… un couple d’amis dans leur chariot. Des amis parfaits : drôles, flatteurs, disponibles. Le rêve ! Jusqu’au jour où la mécanique s’enraye…
Les Amis du Placard est une comédie grinçante, drôle et troublante, qui détourne l’ordinaire pour en révéler l’absurde, entre satire et éclats de rire.
Un thème original sur les travers de nos comportements. Le jeu des comédiens est excellent et nous n'avons pas vu le temps passer.
Le thème abordé est original. Il mérite peut-être un peu plus d’approfondissement. Les 4 comédiens sont excellents.
J'ai eu le plaisir de voir cette pièce il y a 5 ans et la mise en scène mettait en relief les affrontements vitriolés de deux couples : dominants-dominés. C'est ici le cas, et les interactions sont modernisée apportant une touche d'une belle analyse des comportements abruptes de notre société contemporaine.
une comédie sympa avec un sujet original
Original bien joué Caustique
De l'absurde bien rendu. On a apprécié la bonne diction des comédiens.
J’avais adoré cette pièce il y a une quinzaine d’années : merci au Studio Herbertot de l’avoir ressortie… du placard. Le texte est intelligent, incisif et drôle, un rire qui donne matière à réfléchir. On y découvre des personnages - et des comédiens - (notamment Matthieu Bailly), plus vrai que nature.
Reflet à peine déformant de nos travers, ce couple -échantillon est délicieusement méprisable, pitoyable, imbuvable, mais quels comédien(ne)s ! Plus vrais que ne le souhaiterait la nature, c'est à trait tiré, quoiqu'à bien y réfléchir (Miroir! Si tu les reflètes... !) J'avais eu grand plaisir à voir cette pièce en un autre temps, autre lieu, avec des comédiens autres et dont j'avais adoré la mise en scène, originale en diable, mais je dois dire que la version de l'Hébertot, sans grande originalité, mais bien sentie (les horreurs contemporaines picturales du mouvement des salles d'attente), a permis de recentrer l'attention sur le texte et le jeu du quatre, car nous avions le jeune couple du placard, pitoyable esclave et corvéable à merci, chosifié dont la psychologie comportementale est intéressante à plus d'un titre. Sous une feinte légèreté, le tragique pointe son nez rougi. Rire avant que d'en pleurer par St Hole!, car ça fait du bien là où ça fait mal ! Franchement, je ne m'attendais pas à prendre tant de plaisir à cet étalage de la pourriture de nos rapports inhumains, mais quoi de plus jouissif que de s'ériger en juge bien pensant, bienveillant, en petit homme ou femme offusqué(se), corsetés dans une hypocrisie de la pi(t)re étoffe. Par ce que c'est lui, parce que c'est moi... tu parles. L'ami ne fait pas le moine, sauf si je le décide, selon mon bon plaisir. Qu'on se le dise par ce qu'eux, ils le SAV!
Pour 8 Notes
Un thème original sur les travers de nos comportements. Le jeu des comédiens est excellent et nous n'avons pas vu le temps passer.
Le thème abordé est original. Il mérite peut-être un peu plus d’approfondissement. Les 4 comédiens sont excellents.
J'ai eu le plaisir de voir cette pièce il y a 5 ans et la mise en scène mettait en relief les affrontements vitriolés de deux couples : dominants-dominés. C'est ici le cas, et les interactions sont modernisée apportant une touche d'une belle analyse des comportements abruptes de notre société contemporaine.
une comédie sympa avec un sujet original
Original bien joué Caustique
De l'absurde bien rendu. On a apprécié la bonne diction des comédiens.
J’avais adoré cette pièce il y a une quinzaine d’années : merci au Studio Herbertot de l’avoir ressortie… du placard. Le texte est intelligent, incisif et drôle, un rire qui donne matière à réfléchir. On y découvre des personnages - et des comédiens - (notamment Matthieu Bailly), plus vrai que nature.
Reflet à peine déformant de nos travers, ce couple -échantillon est délicieusement méprisable, pitoyable, imbuvable, mais quels comédien(ne)s ! Plus vrais que ne le souhaiterait la nature, c'est à trait tiré, quoiqu'à bien y réfléchir (Miroir! Si tu les reflètes... !) J'avais eu grand plaisir à voir cette pièce en un autre temps, autre lieu, avec des comédiens autres et dont j'avais adoré la mise en scène, originale en diable, mais je dois dire que la version de l'Hébertot, sans grande originalité, mais bien sentie (les horreurs contemporaines picturales du mouvement des salles d'attente), a permis de recentrer l'attention sur le texte et le jeu du quatre, car nous avions le jeune couple du placard, pitoyable esclave et corvéable à merci, chosifié dont la psychologie comportementale est intéressante à plus d'un titre. Sous une feinte légèreté, le tragique pointe son nez rougi. Rire avant que d'en pleurer par St Hole!, car ça fait du bien là où ça fait mal ! Franchement, je ne m'attendais pas à prendre tant de plaisir à cet étalage de la pourriture de nos rapports inhumains, mais quoi de plus jouissif que de s'ériger en juge bien pensant, bienveillant, en petit homme ou femme offusqué(se), corsetés dans une hypocrisie de la pi(t)re étoffe. Par ce que c'est lui, parce que c'est moi... tu parles. L'ami ne fait pas le moine, sauf si je le décide, selon mon bon plaisir. Qu'on se le dise par ce qu'eux, ils le SAV!
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