Tout public dès 8 ans.
Le père ressemble à l’Ogre, la mère à Cendrillon, le fils est le petit prince, l’amie et la grand-mère sont des figures de marraines, de fées ou de petites souris. Les scènes ressemblent au quotidien d’une famille actuelle, mais l’univers, les dialogues, les suspensions nous transportent ailleurs.
C’est avec une grande distance que les spectateur.ice.s, adultes et enfants, peuvent alors aborder cette histoire. Il ne s’agit pas de montrer la violence ou de la cacher, mais de la signifier sans l’imposer. Des codes de jeu sont utilisés pour toujours rappeler aux enfants que ce qu’il se passe sur scène n’est pas la réalité.
À mots feutrés, avec la juste distance, Nathalie Bensard fait parler le silence en créant des espaces entre les mots pour faire résonner ce qui ne se dit pas. Louis regarde sans comprendre ou comprend sans voir, joue, écrit et dit des poèmes pour mettre des mots sur les non-dits des grands. Ce qui le turlupine quand même dans cette histoire c’est de savoir si l’amour c’est toujours dire « oui ».
Grâce à sa petite chérie Iris et à sa fée grand-mère, il garde intacts sa joie, sa curiosité et l’amour qu’il porte aux siens. Une histoire contemporaine aux allures de conte où le jeu subtil d’ombres et de lumières magnifie la poésie.
« Une histoire contemporaine aux allures de conte où le jeu subtil d’ombres et de lumières magnifie la poésie. » Sceneweb
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