
Humour musical
La presse
Le groupe
Discographie
Après le "plus petit big band du monde", l’Orphéon présente cette fois-ci le trio le plus peuplé de la planète : 2 trompettistes, 1 saxophoniste, 2 banjoïstes, 2 guitaristes, 2 flûtistes, 3 joueurs de kazoo-percussionnistes, 1 tubiste, 3 chanteurs, 2 bouteillistes, 1 violoniste, sans oublier les choeurs, et tous leurs accompagnateurs...
On retrouvera bien sûr les indispensables gospel-cartoons, le dresseur d’hélicon, l’attentat au jazz hilarant, l’Orphéon mécanique ou le banjo à 6 mains, mais surtout de nouveaux morceaux d’anthologie humoristico-musicaux, des polyphonies prolétaires aux aventures de Zorro pour non-voyants, en passant par le swing charcutier ou le crooner miraculé.
Bref, dans un univers farfelu toujours en expansion, la poésie se trémousse aux confins du big glang !
"A la ville comme à la scène, leur présence ilumine d'un arc-en-ciel de bonheur ce milieu musical trop sérieux..." Julien Delli Fiori, Jazzman
"L'Orphéon, c'est le mariage réussi entre Duke Ellington et Tex Avery." N. Hayter, France 3
"Un ensemble inégalable, bourré de pêche, de swing, d'humour et de talent ! Ils sont à la fois musiciens et comédiens, incroyablement rigoureux et divinement farfelus. Mais contrairement aux apparences, quand il s'agit de jazz, ils ne plaisantent pas..." Le Figaro
"Un spectacle époustouflant à découvrir de toute urgence." Florence Ruzé, Le Parisien
"Une formule magique et rythmée, qui fit hurler de rire les spectateurs." Bruno Pfeiffer, Marianne
"Chez eux, la musique est une farce virtuose et le jazz, hilarant." Télérama
"La soirée passe à toute vitesse, dans un grand éclat de rire. Indispensable ! " L.C., Témoignage chrétien
Après une carrière de jazzmen plutôt excentriques dans les rues de Paris, jusqu’aux grands festivals internationaux, en passant par les jazz clubs parisiens, les musiciens de l’Orphéon accèdent au grand public en 1986, tout en conservant l’originalité de leur formule bizarroïde: cornet, saxophones, flûte, clarinette, banjo, tuba et voix.
Sur une commande des Jeunesses Musicales de France, Emmanuel Hussenot conçoit un spectacle de music-hall pour les enfants : La Préhistoire du Jazz. A cette occasion, l’Orphéon devient aussi un quartet vocal, et révèle ses talents pour la comédie, la mise en scène, l’écriture et la création.
En 1989, l'Orphéon présente Anoulanouba, son premier spectacle musical et humoristique au Théâtre du Tourtour, puis remplit, en 1993, le Sentier des Halles avec une nouvelle création : Siphonnée Symphonie, prolongée en 1994.
En 1990, Emmanuel Hussenot et l’Orphéon reçoivent le Prix Sidney Bechet de l’Académie du Jazz.
A partir de 1991, le groupe tourne à l’étranger (Japon, Taïwan, Amérique du Sud, Afrique, Europe Centrale...), dans les grands circuits culturels et dans les festivals d'humour où il obtient un large succès au Festival de Saint-Gervais (Grand Prix, Prix du Public et Hommage de la Sacem), Paleo Festival (Suisse), Festival Performance d'Acteur (Cannes), Festival Juste pour Rire (Montréal).
Un troisième spectacle les 400 Couacs est créé en 1995 à l'Auditorium des Halles (Paris).
1996 commence pour l'Orphéon sur les planches du Casino de Paris en compagnie des Frères Jacques, avec Chanson Plus, TSF et Le Quatuor.
1998 est l'année de La Vocalise en Carton, qui remporte un succès de 6 semaines à la Pépinière-Opéra, puis en première partie de Maxime Le Forestier au Casino de Paris, et en tournée nationale.
Retour à Paris en 2001 avec Millésime Mi-lézard, pour 6 semaines à l’Auditorium Saint-Germain des Prés.
En 2002 la rencontre explosive des fondateurs Emmanuel Hussenot et Patrick Perrin avec Christian Ponard tourne une autre page de l’Orphéon : nouvelle équipe, création en tournée de Tatatin!.. et voilà, enregistrement d’une vidéo, d’un CD, et reprise du spectacle jeune public La Préhistoire du Jazz.
A partir de mars 2003, le succès du Théâtre Clavel à Paris est suivi de prolongations au Zèbre de Belleville. Puis sur une commande d’arte, ils composent et enregistrent la musique du film l’Éléphant, la Fourmi et l’État.
- 1989 Anoulanouba (Média 7)
- 1993 Siphonnée Symphonie (Média 7)
- 1995 La Préhistoire du Jazz (Auvidis)
- 1995 Best of (JMS / Sony Music)
- 1998 La Vocalise en Carton(Auvidis)
- 2003 Tatatin!.. et voilà. (Jazzophile)
4, rue de l'Armée-d'Orient 75018 Paris