Jean-Rachid - Itinéraire d’un enfant de quartier

• Du Val Fourré aux beaux quartiers

Jean Rachid a quatorze ans lorsqu’il quitte Mantes La Jolie pour ses premières vacances au Bled. Dès son arrivée, il doit faire face à des cousins envieux aux talents de comédien, des mamies tatouages héroïnes de guerre et prêtes à tout pour marier leurs filles, des féroces mouches algériennes qui ne laissent pas dormir et toutes autres sortes de choses insolites et déroutantes.

Grâce à ce dépaysant voyage, il va faire connaissance avec une culture qu’il ne connaît pas, celle de ses parents, qui s’avère être la sienne. Cette découverte lui sera d’une grande utilité lorsque, quelques années plus tard, Jean Rachid devra effectuer un autre voyage tout aussi dépaysant, celui des cités du Val Fourré aux beaux quartiers du 16ème arrondissement…

Aujourd’hui, il y a un problème sociologique, nous dit Jean Rachid : « Les jeunes du XVIème veulent ressembler aux jeunes des quartiers et les jeunes des quartiers rêvent d’habiter dans le XVIème ». Entre auto-dérision et tchatche, un summum d’humour.

• La presse

" Tantôt espiègle, cupide ou charmeur, Jean-Rachid entraîne dans son sillage, et le public sort ravi. Jean-Rachid rappelle que le beur qui réussit n’est pas qu’un comique obligé et que, derrière l’artiste, les émotions et la sensibilité transpirent. " Tewfik Hakem, France Culture, 29 septembre 2004

" Avec ce “one man show” (...), ce jeune Mantais montre l’étendu de son talent d’humoriste. De véritable performances d’acteur viennent aussi enrichir le spectacle (...) " A.S., Le courrier de Mantes, 7 juillet 2004

" Plus qu'un one-man-show, c'est un récit quasi biographique, tantôt touchant et sociologique, tantôt loufoque et comique. Chaleureux, débordant d'énergie, il parvient progressivement (...) à bâtir un monde bourré de références d'après une expérience sincère, vécue. Les observations sociétales se mêlent à un franc délire, entre regard enfantin et trip décalé (...), et à de courts instants de mélancolie. " Pierre Langlais, Le Point, 26 août 2004