Huguette Hugo

• Un charmant badinage

Huguette a une boutique de livres anciens, 128 avenue Victor Hugo, hôtel particulier dans lequel est mort notre poète national à qui d’ailleurs elle rend hommage en y exposant sa statue. Après un léger dépoussiérage, le buste éternue ! Voilà le début d’un charmant badinage entre Huguette et Victor. Choc de deux époques. Retrouvailles, règlements de comptes, fous rires, rires fous et grand Amour ! Victor ne restera pas de marbre !

• Note de l’auteur

Huguette est une anti-héroïne qui a l’étoffe d’une héroïne ! Une femme du 21ème siècle, un peu « midinette » pour le comique de situation mais qui a un désir d’idéal et de beau ! N’aurait-elle pas déjà vécu cette belle histoire dans une vie antérieure ? Elle commence le spectacle en jean déchiré pour danser sur Mickael Jackson et termine en crinoline pour danser la valse avec Victor Hugo ! Elle n’a qu’une seule intention : Faire rire et rêver !

Catherine Privat

• Intention du metteur en scène

Un retour arrière imaginaire confronte l’humour de deux époques et expose au grand jour un amour éternel. Victor Hugo et Juliette Drouet reviennent au 21ème siècle ! Quel choc ! Johan a voulu une mise en scène très simple pour mettre la pièce et la comédienne en valeur ! Il pense que le texte parle de lui-même et s’est beaucoup amusé à entrer dans le monde fantasque d’Huguette !

• Anecdote

Catherine a beaucoup joué du Victor Hugo depuis le début de sa carrière… Elle décide un jour d’acheter une boutique… Et atterrit où ? 128 avenue Victor Hugo Paris 16ème. Elle lève la tête et voit « Ici est mort Victor Hugo le 22 mai 1885 »… Pour lui rendre hommage, elle décide d’y exposer un petit buste de Victor. Au moment même où elle décide de l’installer, un déluge s’abat sur Paris ! Après la pluie Catherine sort et parcourt l’historique de l’immeuble : « Le jour de l’enterrement de Victor Hugo, il y eut un déluge de pluie et de tonnerre » Ainsi est née Huguette Hugo !

• La presse

 " Catherine Privat- auteur et interprète- a autant d'abattage que de tendresse. Elle connaît son Hugo par cœur. Il le lui rend bien " Le Nouvel Observateur / Jérôme Garcin