À partir de 16 ans.
Âmes sensibles s’abstenir, adeptes d’un humour ravageur, précipitez-vous !
Que n’a-t-on pas dit de Gaspard Proust ? Impertinent, cynique, corrosif, brillant… Il se définit lui-même comme un cartésien désabusé ! Une chose est sûre, dès ses premières apparitions sur scène, il a raflé le public au point de devenir incontournable.
Celui qu’on a longtemps considéré comme le fils spirituel de Pierre Desproges, n’épargnant rien ni personne, décoche des flèches acérées l’air de rien, avec son allure de dandy désenchanté.
Le spectacle est une nouveauté qui égalera, à n’en pas douter, le succès de son précédent spectacle. Nous faisons confiance à son écriture millimétrée, à son phrasé subtil, au regard ironique qu’il porte sur le monde qui nous entoure.
Gaspard Proust a connu le succès à Paris dès 2010 (Studio des Champs-Elysées, Européen, Cigale, Théâtre du Rond Point, Salle Gaveau, etc.). En 2012, il tient un premier rôle au cinéma dans le film de Frédéric Beigbeder, L'amour dure trois ans. Il intervient depuis septembre 2012 tous les samedis dans Salut les Terriens sur Canal+.
« Gaspard Proust est dérangeant, sans concession, à l’aise plus que jamais dans son rôle de « punk en habit de bourgeois » » Le Monde
« Un spectacle particulièrement cinglant et surtout méchamment drôle. » Télérama
« Plus acerbe que jamais, il ose tout... Textes ciselés comme des diamants, Gaspard Proust n’a aucune difficulté à conquérir les fans de ses débuts. » Le Figaro
« Un spectacle encore plus noir et mordant que le précédent. L’écriture est brillante, incisive, et le sens de la formule souvent génial. » Le Parisien
« Le spectacle le plus extraordinaire de cette rentrée. Tellement bon ! Gaspard Proust est entré dans la cour des très grands. » Figaro Magazine
« Plus grinçant, plus féroce Gaspard Proust ? Non, tout autant qu’avant. La fureur du monde n’a pas freiné son goût pour la provocation. (...) Pendant une heure et demie, les saillies radicales de Gaspard Proust retiennent l’attention. » Sandrine Blanchard, blog Le Monde, 22 septembre 2016
« On a rarement été aussi loin dans l’acidité et la dénonciation des hypocrisies et des dérèglements de notre époque. » Le Point
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