Mettant en scène des anti-héros d’une tendresse désarmante, Philippe Quesne donne à voir dans La Mélancolie des dragons, un théâtre où les ficelles du spectacle sont démontées au fur et à mesure que la représentation s’élabore. Un discours de la méthode aussi drôle que délicat.

Après sa trilogie Des Territoires, Baptiste Amann nous donne rendez-vous dans une salle des fêtes avec trois citadins venus s'installer à la campagne. Un huis clos captivant, qui mêle intime et politique, évoque le bien commun, la précarité, l’écologie et plus que tout l’utopie.

François Gremaud et Victor Lenoble partagent un goût sérieux pour le décalage et la poésie à peu de frais. À l’instar de Georges Perec qui, avec La disparition, écrivit un roman ne comportant pas une seule fois la lettre « e », ils ont choisi de faire une pièce de théâtre sans la présence de la personne clé : l’interprète.

Sur les traces de Mary Shelley et de sa créature monstrueuse Frankenstein, Jean-François Peyret invente un théâtre curieux des phénomènes scientifiques. Il interroge notre époque hors de tout didactisme, avec humour et finesse, mettant en valeur ce que la science peut avoir de poétique et réunit pour l’occasion Jeanne Balibar, Jacques Bonnaffé, Joël Maillard et Victor Lenoble.

Mettant en scène des anti-héros d’une tendresse désarmante, Philippe Quesne donne à voir dans La Mélancolie des dragons, un théâtre où les ficelles du spectacle sont démontées au fur et à mesure que la représentation s’élabore. Un discours de la méthode aussi drôle que délicat.

Mettant en scène des anti-héros d’une tendresse désarmante, Philippe Quesne donne à voir dans La Mélancolie des dragons, un théâtre où les ficelles du spectacle sont démontées au fur et à mesure que la représentation s’élabore. Un discours de la méthode aussi drôle que délicat.

Bréviaire de ceux qui rêvent de réinventer l'homme au contact de la nature, le manifeste écologique de Thoreau est d'une grande puissance littéraire et poétique. Jean-François Peyret s'est entouré de comédiens, d'un musicien, d'un scénographe sonore et d'un vidéaste pour rêver à cette vie d'écriture face à l’eau, face aux arbres.

Bréviaire de ceux qui rêvent de réinventer l'homme au contact de la nature, le manifeste écologique de Thoreau est d'une grande puissance littéraire et poétique. Jean-François Peyret s'est entouré de comédiens, d'un musicien, d'un scénographe sonore et d'un vidéaste pour rêver à cette vie d'écriture face à l’eau, face aux arbres.

Elles ne mènent à rien mais explorent tout : les recherches de l’IRMAR nous posent au coeur des choses, là où objets, sons, figures nous inquiètent de leur présence… ou de leur absence, toujours au bord d’un vide qui ferait trembler ensemble Marcel Duchamp et Samuel Beckett.

Mettant en scène des anti-héros d’une tendresse désarmante, Philippe Quesne donne à voir dans La Mélancolie des dragons, un théâtre où les ficelles du spectacle sont démontées au fur et à mesure que la représentation s’élabore. Un discours de la méthode aussi drôle que délicat.