Titouan Lechevaier

Titouan Lechevaier

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Titouan Lechevaier

Une télévision française

Théâtre Jacques Carat à Cachan, Cachan

le 15 avr. 2023
3h15
CONTEMPORAIN Documentaire Société Terminé
  • Mise en scène : Thomas Quillardet
  • Avec : Agnès Adam, Jean-Baptiste Anoumon, Émilie Baba, Benoit Carré, Florent Cheippe, Charlotte Corman, Benedicte Mbemba, Josué Ndofusu, Blaise Pettebone, Anne-Laure Tondu, Titouan Lechevaier

Le 16 avril 1987, Francis Bouygues, géant du BTP, acquiert 50 % du capital de TF1 pour trois milliards de francs. Dans cette privatisation d’une grande chaîne du service public au nom d’un supposé « mieux-disant culturel », Thomas Quillardet voit l’avènement d’une nouvelle ère où les lignes idéologiques entre droite et gauche commencent à se brouiller.

Une télévision française

Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Montigny-le-Bretonneux

du 10 au 11 mars 2023
3h15
CONTEMPORAIN Documentaire Société Terminé
  • Mise en scène : Thomas Quillardet
  • Avec : Agnès Adam, Jean-Baptiste Anoumon, Émilie Baba, Benoit Carré, Florent Cheippe, Charlotte Corman, Benedicte Mbemba, Josué Ndofusu, Blaise Pettebone, Anne-Laure Tondu, Titouan Lechevaier

Le 16 avril 1987, Francis Bouygues, géant du BTP, acquiert 50 % du capital de TF1 pour trois milliards de francs. Dans cette privatisation d’une grande chaîne du service public au nom d’un supposé « mieux-disant culturel », Thomas Quillardet voit l’avènement d’une nouvelle ère où les lignes idéologiques entre droite et gauche commencent à se brouiller.

Une télévision française

Théâtre des Abbesses, Paris

du 5 au 22 janv. 2022
3h15
CONTEMPORAIN Documentaire Société Terminé
  • Mise en scène : Thomas Quillardet
  • Avec : Agnès Adam, Jean-Baptiste Anoumon, Émilie Baba, Benoit Carré, Florent Cheippe, Charlotte Corman, Benedicte Mbemba, Josué Ndofusu, Blaise Pettebone, Anne-Laure Tondu, Titouan Lechevaier

Le 16 avril 1987, Francis Bouygues, géant du BTP, acquiert 50 % du capital de TF1 pour trois milliards de francs. Dans cette privatisation d’une grande chaîne du service public au nom d’un supposé « mieux-disant culturel », Thomas Quillardet voit l’avènement d’une nouvelle ère où les lignes idéologiques entre droite et gauche commencent à se brouiller.