Le spectacle de Frédéric Fromet est réservé à qui apprécie la moquerie dans la joie et la bonne humeur. Parce que la moquerie, c’est la vie ! À partir de 9 ans.

Dans son nouveau spectacle, Frédéric Fromet chante l’amour au moins pendant les cinq premières minutes. La suite dépend de l’actualité qu’il croque chaque semaine. Et de vous.

Elle nait un soir de neige, seule face à elle-même. Qui suis-je ? Qui sont mes parents ? Mais… je ne suis pas finie ! Une naissance inattendue qui laisse une petite fille toute emmêlée. A partir de 5 ans.

Frédéric Fromet « Carrure de danseuse classique et voix fluette, on se dit qu’il va être bien gentil ce garçon. » Ah oui ? Le ton est direct et drôle de méchanceté.

Frédéric Fromet « Carrure de danseuse classique et voix fluette, on se dit qu’il va être bien gentil ce garçon. » Ah oui ? Le ton est direct et drôle de méchanceté.

Frédéric Fromet « Carrure de danseuse classique et voix fluette, on se dit qu’il va être bien gentil ce garçon. » Ah oui ? Le ton est direct et drôle de méchanceté.

Frédéric Fromet « Carrure de danseuse classique et voix fluette, on se dit qu’il va être bien gentil ce garçon. » Ah oui ? Le ton est direct et drôle de méchanceté.

Frédéric Fromet « Carrure de danseuse classique et voix fluette, on se dit qu’il va être bien gentil ce garçon. » Ah oui ? Le ton est direct et drôle de méchanceté.

Anne Conti, qui a longtemps tenu les premiers rôles dans les mises en scène de Vincent Goethals, se fait à la fois poète lyrique et rockeuse pour se délivrer, dans un singulier cocktail de délicatesse et de fureur, d’un lourd secret, blessure intime dont ce spectacle tente d’esquisser la résilience.

Le cri de celles qui ont crié pour ne pas étouffer. Un furieux cri d’amour, une prière, qui s’élève dans toute sa détermination devant la machine de guerre, devant le guerrier, devant la bestialité de l’homme de guerre qu’il faut arrêter avant que tout explose de nouveau.