Philippe Klein

Philippe Klein

C’est au contact de Françoise Seigner, Jean Danet, Jean-Laurent Cochet et Monique Mauclair que Philippe Klein fait ses débuts en tant qu’acteur dès 1986.

En 1990, il rejoint la Compagnie Jean-Pierre Andréani où il intervient à la fois dans les créations, mais aussi dans les interventions en milieu scolaire. Il découvre aussi la compagnie Cathar6, qui propose un travail de masques sur tréteaux avec laquelle il joue. Parallèlement, il continue de se perfectionner et d’étendre ses connaissances à la fois en chant lyrique, en danse (au Théâtre de la Danse, avec Martine Harmel), en arts martiaux (au Kalaripayatt, avec Cécile Gordon), en Méthode Alexander (avec Agnès de Brunhoff ), ainsi qu’en acteur/danseur/chanteur au Théâtre du Lierre.

A partir des années 2000 et jusqu’à ce jour, il collabore avec le Studio-Théâtre de Stains dans le cadre de nombreuses créations et d’animations d’ateliers avec des adultes et des enfants.

Lors de ses ateliers pédagogiques il effectue une recherche sur l’univers onirique des contes.

Il explore avec les enfants toutes les étapes de l’écriture à la mise en scène et les sensibilise aux cheminements de l’acte créateur.

Actuellement, Philippe Klein revisite le Moyen Age avec ses Farces, fabliaux et fables en ancien français et réactualise les traditions populaires avec Les fables et les contes de Noël.

Son approche des fabliaux offre une puissante dynamique à l’imaginaire. Les spectacles autour des fables sont autant de déclinaisons de mondes à la fois drôles, passionnés ou décalés.

Il s’investit aussi dans la poésie engagée du XXème siècle.

Récemment il a travaillé avec le Théâtre du Lierre (dans Le Pas de l’homme, avec Farid Paya) ; avec LG Théâtre (Georges Lavaudant) ; et avec En corps et en jeu, dans Transe-forme, en collaboration avec Martine Harmel depuis une dizaine d’années.

En audiovisuel, il collabore régulièrement aux Films 9 Dragons (avec Archibald Pinault) et tourne dans Basilic et Rééducation à Hong Kong.

En 2012, son spectacle Alfred, le fabuliste sur les fables en ancien français, a enthousiasmé la critique lors de son passage au Festival d’Avignon.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Philippe Klein

Le Pas de l’Homme

Lierre, Paris

du 4 mars au 5 avr. 2009
2h15
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Farid Paya
  • Mise en scène : Farid Paya
  • Avec : Aloual, Antonia Bosco, Isabelle Chevallier, Patrice Gallet, Xavier-Valéry Gauthier, Philippe Klein, Lydie Marsan, Martine Midoux, David Weiss
Un récit épique en quête d’une vérité qui interroge l’homme : qui est-il ? Quelle trace laisse-t-il derrière lui ? Le parcours convoque des divinités monstrueuses qui seraient une autre face de l’homme, un bestiaire fantastique pour aboutir à la promesse d’un monde rénové. Des chants, des masques, des images oniriques accompagnent le voyage au cœur de la violence des mythes.
Le jeu de l'amour et du hasard

Cinq Diamants, Paris

du 6 sept. au 22 oct. 2000
CLASSIQUE Terminé
  • De : Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux
  • Mise en scène : Catherine Brieux
  • Avec : Philippe Klein, Sébastien Azzopardi, Aurélie Bargème, Anne Clarin, Valérie Delangre, Cyrille Labbé, Jean-Daniel Pernet
Marivaux, longtemps exalté pour son écriture, est avant tout un sociologue pertinent, à l’écoute attentive d’une société mouvante. Ce qui nous arrête, c'est le regard qu’il porte sur ses semblables, une analyse minutieuse et sans complaisance de l’âme humaine.
La corruption n'est plus ce qu'elle était

Lavoir Moderne Parisien, Paris

du 6 au 29 janv. 2000
MUSIQUE & DANSE Terminé
  • De : Martine Harmel, Patrice Peyrieras
  • Mise en scène : Martine Harmel
  • Avec : Olivier Allouche, Valérie Daudon, Marie Delmarès, Elisabeth Drulhe, Hélène Francisci, Tadrina Hocking, Manuel Husson, Philippe Klein, Noémie de Lattre, Cécile Métrich
Librement inspiré de l'univers de Brecht. Deux personnages traqués, n'ayant d'autre issue que de rester où ils sont, décident de créer une ville de plaisir pour piéger les "pigeons" qui viendront y dépenser leur argent. L'image que cette ville livre progressivement est celle de l'enfer où nous sommes.