Pascal Bertin

Pascal Bertin

Il commence le chant dès l’age de 11 ans au sein du chœur d’enfants de Paris, maîtrise avec laquelle, il se produira comme soliste sur les plus grandes scènes du monde sous la direction de chefs prestigieux : Seiji Ozawa, Zubin Metha, Georg Solti…
Après un premier prix au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de William Christie, il entame sa carrière dans le répertoire polyphonique de la renaissance avec A Sei Voci, l’Ensemble Clément Jannequin, l’Ensemble Gilles Binchois. Très rapidement il est appelé à chanter avec les plus grands chefs du « Baroque » : Philippe Herreweghe, John Eliot Gardiner, Christophe Rousset, Sigiswald Kuijken, Marc Minkowski … L’ensemble de jazz vocal « indigo » qu’il a fondé a reçu la nomination « révélation de l’année » en 1995 aux « Victoires de la Musique ». Harmonia Mundi l’a invité à participer à un projet discographique : « les trois contre-ténors » aux côtés de Dominique Visse et Andreas Scholl. Sa production discographique comprend plus de trente enregistrements. 

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De 1999 à hier - Pascal Bertin

Missa Concertata

Opéra Royal de Versailles, Versailles

le 10 févr. 2018
1h10
MUSIQUE & DANSE Musique classique Concert Terminé
  • De : Francesco Cavalli
  • Direction musicale : Benjamin Chénier
  • Avec : Stéphanie Revidat, Anne Magouët, Pascal Bertin, Paulin Bündgen, Martial Pauliat, Vincent Bouchot, Renaud Delaigue, Renaud Brès
Benjamin Chénier s'attaque à un autre chef d'œuvre vénitien célébrant la France et Louis XIV, par la plume du successeur de Rovetta à San Marco : Cavalli, avec de brillants solistes et un parti-pris de spatialisation dans la Chapelle Royale pour retrouver le faste sonore de 1660.
Le Couronnement de Poppée

Gyptis Théâtre, Marseille

du 28 au 29 nov. 2002
MUSIQUE & DANSE Terminé
  • De : Giuseppe Monteverdi
  • Mise en scène : Andonis Vouyoucas
  • Avec : Isabelle Bonnadier, Pascal Bertin, Jérôme Cottenceau, Jean François Chiama, Laurent Grauer, Philippe Jaroussky, Mireille Quercia, Sandrine Rondot, Gilles Schneider
Il y avait à Rome une femme nommée Sabina Poppéa…Rien ne lui manquait qu’une âme honnête…Sa mère lui avait donné la beauté et la noblesse ses richesses étaient assorties à sa naissance… Modeste était son air, ses mœurs dissolues ; elle paraissait rarement en public, et toujours à demi voilée, pour ne pas rassasier les regards, ou parce que cela lui allait bien…