Ostap Tchovnovoï

Ostap Tchovnovoï

Ostap Tchovnovoï est formé à l’Ecole Supérieure d’Art Dramatique du Théâtre National de Strasbourg, groupe 34. Il est membre du Comité de lecture du Jeune Théâtre National.

  • Théâtre

2006 Tête d’Or de Paul Claudel (1ère version) à la Comédie-Française sous la direction artistique d’Anne Delbee
2005 La Fausse Suivante ou le fourbe puni de Marivaux au théâtre du Peuple de Bussang avec Guillaume Vincent
2004-2005 Qui ne travaille pas, ne mange pas au Théâtre National de Gennevilliers, à la Scène Nationale de Chambéry et tournée avec Judith DEPAULE
En 2007 Dommage qu'elle soit une putain de John Ford, m.e.s. Patrick Schmitt

  • Cinéma

Il participe au long-métrage de Jean Becker Dialogue avec mon jardinier en 2006 et à des courts-métrages réalisés par Giovanni Cioni en 2004, lui-même en 2003, Emmanuel
Finkiel et Raphaël Lewandosky en 2001, Olivier AUGER en 1999.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Ostap Tchovnovoï

Dommage qu'elle soit une putain

La Forge, Nanterre

du 6 au 23 nov. 2008
1h50
CLASSIQUE Coup de cœur Terminé
  • De : John Ford
  • Mise en scène : Patrick Schmitt
  • Avec : Jean-Luc Debattice, Régis Le Rohellec, Pierre Marzin, Emmanuelle Meyssignac, Georges Salmon, Ostap Tchovnovoï, Coco Felgeirolles, Sarah Capony, Patrick Schmitt
Dans la Parme renaissante. Au coeur de l'intrigue : l'amour d'un frère, Giovanni et de sa soeur jumelle, Annabella, dans toute son arrogance et sa simplicité. Loin d'être un jeu, c'est d'une terrible passion qu'il s'agit, violente, déferlante où le désir charnel est décuplé par l'interdit.
Dommage qu'elle soit une putain

La Forge, Nanterre

du 6 mars au 1 avr. 2007
1h50
CLASSIQUE Coup de cœur Terminé
  • De : John Ford
  • Mise en scène : Patrick Schmitt
  • Avec : Jean-Luc Debattice, Régis Le Rohellec, Pierre Marzin, Emmanuelle Meyssignac, Georges Salmon, Ostap Tchovnovoï, Coco Felgeirolles, Sarah Capony, Patrick Schmitt
Dans la Parme renaissante. Au coeur de l'intrigue : l'amour d'un frère, Giovanni et de sa soeur jumelle, Annabella, dans toute son arrogance et sa simplicité. Loin d'être un jeu, c'est d'une terrible passion qu'il s'agit, violente, déferlante où le désir charnel est décuplé par l'interdit.
La fausse suivante

Théâtre de la Cité Internationale, Paris

du 3 au 29 oct. 2005
2H00
CLASSIQUE Terminé
  • De : Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux
  • Mise en scène : Guillaume Vincent
  • Avec : Cyrille Henry, Pauline Lorillard, Pierre-François Pommier, Ostap Tchovnovoï, Guillaume Vincent, Susann Vogel
Chez Marivaux on le sait, tout est artifice ; le langage d’abord, si éloigné du langage parlé, les personnages ensuite qui font semblant de faire semblant et croient se cacher derrière leurs déguisements. Guillaume Vincent a fait du déguisement une arme commune à tous les personnages. Nous sommes ici dans un rêve, un rêve enfantin et cruel.
La Fausse suivante (hors les murs)

Nest-CDN de Thionville-Lorraine, Thionville

du 26 au 30 sept. 2005
2H00
CLASSIQUE Terminé
  • De : Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux
  • Mise en scène : Guillaume Vincent
  • Avec : Cyrille Henry, Pauline Lorillard, Pierre-François Pommier, Ostap Tchovnovoï, Guillaume Vincent, Susann Vogel
Lieu : Théâtre en bois, 15 route de Manom. Tout n’est pas pour le mieux dans le meilleur des mondes, certains travestissements vont permettre de découvrir certaines intentions douteuses dont il conviendra de se venger, mais la vengeance, souligne Guillaume Vincent, compromet aussi ceux qui l’exercent.
Qui ne travaille pas ne mange pas

Théâtre de Gennevilliers (T2G), Gennevilliers

du 18 nov. au 5 déc. 2004
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Judith Depaule
  • Mise en scène : Judith Depaule
  • Avec : Fred Costa, Pierre Giraud, Narmé Kaveh, Joséphine de Meaux, Frédéric Minière, Judith Morisseau, Victor Ponomarev, Ostap Tchovnovoï, Anatoli Vlassov
S’interrogeant sur un programme de rééducation des détenus, le gouvernement soviétique organisait au goulag toutes sortes d’activités de masse dont le théâtre. A partir d’archives et d’interviews d’anciens détenus ayant pratiqué ou fréquenté le théâtre dans les camps staliniens, un spectacle qui pose la question essentielle de l’existence même de l’art dans des situations les plus extrêmes, sous des régimes totalitaires.