Un petit chapiteau niché sous un immense chapiteau forme une aire de jeu pour comédiens-manipulateurs. Dans sa recherche sur l'espace, Aurélien Bory fait cette fois de la toile le clou du spectacle, sa vedette numéro 1, son moteur. Superbe.

Sous prétexte de conter l’histoire d’une famille, depuis les années 70, les six interprètes de Coma Idyllique, sous la houlette de Vincent Gomez et de Christian Lucas, s’en donnent à cœur joie dans la loufoquerie et l’énergie débridée. Mais c’est pour mieux tancer ce qui coince : les luttes pour le pouvoir, la surproduction, la surconsommation, la solitude… Rien de plombant pourtant, ce serait mal connaître la légèreté des circassiens qui, quoi qu’il arrive, s’en tirent toujours par une pirouette !

Danseurs de hip hop, comédiens et circassiens évoluent dans un espace ludique où tout se construit, se transforme, s’invente… Une aire de jeux où hip hop et acrobaties se succèdent.

Danseurs de hip hop, comédiens et circassiens évoluent dans un espace ludique où tout se construit, se transforme, s’invente… Une aire de jeux où hip hop et acrobaties se succèdent.

Cette jeune tribu bigarrée, galopante et volante fait naître peu à peu univers onirique et inattendu, proche cousin de Lewis Carroll, dans lequel souffle un courant frais et festif. Un spectacle enfantin et farfelu, auréolé d’une forte notoriété, propre à réjouir un large public.