Leila Duclos, étoile montante du jazz vocal, présente son album Fille du feu, un premier opus de chansons originales où elle révèle l’étendue de sa personnalité musicale, en particulier dans la virtuosité de son scat.

Le trublion du jazz français Médéric Collignon a encore frappé juste avec son album MoOvies. Accompagné par les acolytes de son Jus de Bocse, il revisite ici les musiques de films cultes des années 1960 et 1970.

Kit de survie est construit autour de l’idée d’un hommage à toutes les banlieues : à la verdeur, à la verve, à son monde créateur et non aux clichés. A contre courant de l’actualité et de ses réductions médiatiques. Au centre, la parole performée de Marc Nammour (en français et en arabe libanais) et de Mike Ladd (en anglais).

Une soirée en deux parties, pour un voyage musical par-delà les rives de la Méditerrannée, à la rencontre de l'Autre.

L’enfant terrible du jazz, Médéric Collignon nous fait retrouver la magie du groupe King Crimson, un mélange de sérieux et de folie, alternance d’énergie sauvage et de douce mélancolie.

Célébration du « libre-étrange », hymne à la rencontre lancé tel un geste vital contre le clivage des genres et des identités humaines, La Voix est Libre réunit, dans l’écrin sublime des Bouffes du Nord, des créateurs hors-normes et des scientifiques porteurs d’un éclairage sensible sur un monde en pleine mutation.

Explorateur au long-cours, Médéric Collignon aime revisiter ceux qui l’inspirent. Après Ennio Morricone et Miles Davis, c’est au tour du groupe de rock King Crimson de recevoir un traitement de faveur sorti de l’imagination déchaînée du cornettiste.

Médéric Collignon (voix, tuyau, trompette) et Clémentine Yelnick mettent en sons et en bouche dans ce songe théâtral le miracle de la plasticité de l’humain lorsqu’il réagit à l’aléa.

Est-ce du jazz, du funk, de l’électro, du rock, de la pop, du classique ? Ces trois musiciens nous embarquent – et ça ne nous lâche pas, comme un éblouissement nous fait fermer les yeux.

C’est une nouvelle reprise de Porgy and Bess (créé en 1935 à Boston), le classique des classiques, la Bible de George Gershwin. Le tour de force, c’est qu’il s’agit d’un jeune quartet, le « Jus de Bosce », avec Médéric Collignon en maître d’œuvre, qui est à l'origine de cette reprise à la fois singulière et d’une grande modernité. Quatre musiciens au lieu de vingt !