Peau d’âne, pour beaucoup d’entre nous, c’est le film de Jacques Demy, avec la robe couleur de soleil et la scène du cake d’amour. On oublie parfois que cette histoire est aussi celle d’un père incestueux qui décide d’épouser sa propre fille. Ce spectacle prend le conte à bras-le-corps pour en proposer une relecture résolument émancipatrice ! À partir de 10 ans.

Peau d’âne, pour beaucoup d’entre nous, c’est le film de Jacques Demy, avec la robe couleur de soleil et la scène du cake d’amour. On oublie parfois que cette histoire est aussi celle d’un père incestueux qui décide d’épouser sa propre fille. Ce spectacle prend le conte à bras-le-corps pour en proposer une relecture résolument émancipatrice ! À partir de 10 ans.

Peau d’âne, pour beaucoup d’entre nous, c’est le film de Jacques Demy, avec la robe couleur de soleil et la scène du cake d’amour. On oublie parfois que cette histoire est aussi celle d’un père incestueux qui décide d’épouser sa propre fille. Ce spectacle prend le conte à bras-le-corps pour en proposer une relecture résolument émancipatrice ! À partir de 10 ans.

Dans un ingénieux dispositif sonore et vidéo, Kurō Tanino interroge la dimension politique et sociétale de l'intelligence artificielle. Pièce de science-fiction, dystopie ou conte philosophique ?

Dans cette adaptation à la scène du roman de Gaël Faye, Prix Goncourt des lycéens, Frédéric R. Fisbach déploie une forme chorale pour mieux rendre compte des bouleversements vécus par le héros, contraint face au génocide des Tutsis de basculer du jour au lendemain du monde de l’enfance à celui des adultes. À partir de 14 ans.

Laëtitia Guédon propose un spectacle polyphonique, théâtral et chorégraphié pour tous les sens, véritablement indiscipliné. Tenter de redonner vie à cette figure mythologique aux contours indéfinissables entre l’homme, la femme, et l’animal, vers une possible réconciliation des genres.

Ce sont des questions brûlantes d’actualité que Samuel Gallet aborde dans sa réécriture du roman. Jean-Pierre Baro et ses sept interprètes prennent le texte par les cornes et font se confronter le réel du monde et l’entre-soi du milieu théâtral.

Convulsions est le troisième volet d’une trilogie intitulée Face à la mort. Il revisite un épisode de la Tragédie des Atrides.

Dans une distribution cosmopolite et une narration épurée adaptée du premier roman de Fiston Mwanza Mujila, Julie Kretzschmar dresse une fresque-chaos, un tableau choral syncopé d’une Afrique fantasmée et revisitée.

Une mise en scène ambitieuse confronte l’hymne à la tolérance de Nathan le Sage de Lessing, classique de la littérature allemande, à des textes de Elfriede Jelinek sur le terrorisme contemporain. Un dialogue sans concession entre hier et aujourd’hui et un questionnement indispensable, troublant mais vivifiant, hors des idées reçues et du politiquement correct.