Le spectacle d'Olivier Dubois est un poème chorégraphique qui ne distingue plus les corps pour qu’affleurent de ces masses en mouvement des élans archaïques. Un travail éblouissant. A partir de 16 ans.

Le chorégraphe et directeur du CCN Ballet du Nord offre une pièce ample et puissante pour une vingtaine de danseurs. Se confrontant aux éléments déchaînés, Olivier Dubois mêne une danse en forme de course à perdre haleine.

Le chorégraphe et directeur du CCN Ballet du Nord offre une pièce ample et puissante pour une vingtaine de danseurs. Se confrontant aux éléments déchaînés, Olivier Dubois mêne une danse en forme de course à perdre haleine.

Le spectacle d'Olivier Dubois est un poème chorégraphique qui ne distingue plus les corps pour qu’affleurent de ces masses en mouvement des élans archaïques. Un travail éblouissant. A partir de 16 ans.

Le spectacle d'Olivier Dubois est un poème chorégraphique qui ne distingue plus les corps pour qu’affleurent de ces masses en mouvement des élans archaïques. Un travail éblouissant. A partir de 16 ans.

1000 départs de muscles remet le danseur à sa juste place, celle d’un artisan du geste ; en regard de ce monde où le muscle est roi et la forme essentielle, les deux chorégraphes Héla Fattoumi et Éric Lamoureux investissent un champ plus imaginaire, avec le corps comme empreinte de soi. Une réussite chorégraphique !

Jeune danseur au parcours éclectique, David Drouard a fait en 2004 une entrée remarquée grâce Gravity, quatuor à la fois très écrit et sensuel. Créée pour le Nederlands Dans Theater II, Volubilis est un ballet subtil et ludique qui confronte “musique baroque et danse articulée”.

Un fugitif échoué sur une île observe avec étonnement et crainte le va-et-vient d’un groupe de personnes qui apparaît et disparaît aléatoirement… En s’inspirant librement du fascinant conte L’Invention de Morel d’Adolfo Bioy Casarès, Lionel Hoche a désiré transcrire de façon chorégraphique la poésie de la quête de l'autre, ce corps étranger, un continent d’ombres et de lumières où sombrer est possible.

A la fois symbole et défi, chorégraphier Le Sacre du Printemps est un exercice périlleux au regard de la puissance évocatrice de la musique. Pour cette relecture, Lionel Hoche s’empare de la version plus légère écrite pour deux pianos, et compose une pièce grave et sans emphase. Elle sera suivi de la nouvelle version d’une pièce créée en 1997 Volubilis sur une musique de Jean-Sébastien Bach.

En solitaire, Joëlle Bouvier dirige aujourd’hui six danseurs dans un voyage au pays de la fantaisie, dit-elle, du rêve et de la peur qui pince les fesses.