Elle fait le mur à l’âge de 16 ans en partant à Montréal pour perfectionner sa pratique du trapèze. A son retour, elle poursuit une carrière de comédienne et des études de cinéma à L’ESEC. En 2001, elle fait partie des jeunes talents de l’ADAMI et joue Tchekhov sous la direction de Niels Arestrup puis travaille avec Jean-Claude Penchenat, Serge Lipszyc, Catherine Schaub…
Le goût de l’écriture est né d’une rage au ventre à force d’observations dans ses « boulots d’appoints ». Il s’est affirmé avec la découverte des textes de Levin, Schisgal, Pinter, Schimmelpfennig…
En 2009 et 2010, elle écrit Ring et Building. Un regard indigné et corrosif sur notre manque d’engagement, nos lâchetés quotidiennes. L’urgence du thème de la souffrance au travail pousse la metteur en scène Catherine Schaub à monter Building en premier. La pièce reçoit le Grand Prix du théâtre 2011 et est lauréat de l’appel à co-production de la FATP. Puis Catherine Schaub s’empare de Ring et de ses couples volcaniques.
En 2012, Léonore Confino écrit Les Uns sur les Autres, histoires intestines d’une famille française en zone pavillonnaire. Le texte est sélectionné par le festival Actuelles de Strasbourg, le comité à mots découverts, reçoit les encouragements du CNT, est lauréat du comité de lecture Influenscènes et lu aux mardis midis du Rond-Point. Agnès Jaoui incarnera le rôle principal au théâtre de la Madeleine à partir de janvier 2014. La collaboration artistique avec Catherine Schaub est effervescente : elles co-dirigent ensemble les productions du Sillon.
La Scène Parisienne, Paris
Un building. Une entreprise. Treize étages. Un quotidien corrosif dont on rit.
Les 3 Pierrots, Saint-Cloud
De la première rencontre à la dernière rupture, seize rounds amoureux qui oscillent nerveusement entre rire et drame.
Théâtre La Flèche, Paris
Un couple de quadras, façonné par les mirages d’une société malade, voit ses rêves tourner au désastre et sombre dans la guerre conjugale. Leur petite fille, retranchée dans le silence, cristallise la profondeur du malaise.
Le Funambule Montmartre, Paris
Un mot. Un... qui ose encore sortir de ta bouche et je me coupe en deux. Schlark !
Studio Hébertot, Paris
Un couple pris dans les tensions et manipulations d’une enfant rêvant d’un monde idéal. Une heure de montagnes russes entre rires et larmes, un face-à-face électrique d’un couple qui se déchire et se détruit à coups de non-dits. À partir de 12 ans
La Scène Parisienne, Paris
Un building. Une entreprise. Treize étages. Un quotidien corrosif dont on rit.
Théâtre de l'Œuvre, Paris
De la première rencontre à la dernière rupture, seize rounds amoureux qui oscillent nerveusement entre rire et drame.
Théâtre Suresnes - Jean Vilar, Suresnes
Dans cette fable, le verre est central. Le verre comme édifice familial aussi lumineux qu’inquiétant, aussi fragile que tranchant. Le verre comme non-lieu, non-temps : il ne se tâche pas, ne « marque » pas, ne vieillit pas. S’il lui arrive de se briser, on le remplace. À partir de 12 ans.
Théâtre des 2 Rives, Charenton le Pont
Dans cette fable, le verre est central. Le verre comme édifice familial aussi lumineux qu’inquiétant, aussi fragile que tranchant. Le verre comme non-lieu, non-temps : il ne se tâche pas, ne « marque » pas, ne vieillit pas. S’il lui arrive de se briser, on le remplace. À partir de 12 ans.
Théâtre de Saint-Maur, Saint-Maur-des-Fossés
Dans cette fable, le verre est central. Le verre comme édifice familial aussi lumineux qu’inquiétant, aussi fragile que tranchant. Le verre comme non-lieu, non-temps : il ne se tâche pas, ne « marque » pas, ne vieillit pas. S’il lui arrive de se briser, on le remplace. À partir de 12 ans.
Théâtre de l'Œuvre, Paris
Théophile est un écrivain à succès sur le déclin. Il retrouve enfin son inspiration avec l’écriture d’un petit conte poétique et aquatique. Mais l’interprétation du texte par ses proches se révèle cataclysmique. Ne manquez pas la nouvelle comédie de Léonore Confino !
Cartoucherie - Théâtre de l'Epée de Bois, Paris
Dans cette fable, le verre est central. Le verre comme édifice familial aussi lumineux qu’inquiétant, aussi fragile que tranchant. Le verre comme non-lieu, non-temps : il ne se tâche pas, ne « marque » pas, ne vieillit pas. S’il lui arrive de se briser, on le remplace. À partir de 12 ans.
MC93, Bobigny
Dans Wax Mood, Hervé Sika questionne notre identité culturelle et ses mouvements perpétuels à travers la métaphore du wax, ce tissu qui défie toute possibilité d’être enfermé dans une identité fixe, tant il est repris et copié. À partir de 12 ans.