D'abord initiée à la musique par le piano, Hortense s’est formée aux arts de la scène à l’International College of Musical Theatre de Londres, puis au chant lyrique au CRR de Boulogne-Billancourt et Paris. Diplômée de ce dernier en 2021, et pluridisciplinaire, elle s’oriente vers un répertoire varié.
Sur scène, elle a chanté des rôles tels que Pauline dans La Vie Parisienne et Vénus dans Orphée aux Enfers d’Offenbach au théâtre du Ranelagh avec la compagnie Opéra du Jour, et a également endossé le rôle principal dans le spectacle musical Le Tour du Monde en 80 Jours avec GDS Production à la Salle Pleyel.
Hortense participe également à des créations telles que L'hôtel du Pin Sylvestre, opérette de Sarah Nardon qui sera donnée au festival d’Avignon en juillet 2025 au théâtre l’Oriflamme, ainsi qu’à des productions avec de nombreux ensembles : l’Opéra Royal de Versailles, mais encore la compagnie les Frivolités Parisiennes. Avec celle-ci, elle a interprété le rôle de Dolly dans Coups de Roulis d'André Messager en 2023, production reprise à l'opéra de Reims, Amiens et Clermont-Ferrand au mois de mai, et aura le plaisir d'être Javotte dans Les Contes de Perrault de Félix Fourdrain en 2025.
Théâtre Montmartre Galabru, Paris
C’est dans les années 60 que cette auberge normande désuète expose un tableau particulièrement laid qui fait la fierté de sa directrice quelque peu autoritaire, Marie-France Bernard, et de sa réceptionniste joviale et crédule, Bernadette.
Athénée Théâtre Louis-Jouvet, Paris
Nouveau défi pour la metteuse en scène et serial enchanteuse Valérie Lesort, multiprimée aux Molières : Les contes de Perrault. Elle reprend la féérie lyrique d’Arthur Bernède et Paul de Choudens, parue en 1913, où se rencontrent les personnages des contes atemporels comme Cendrillon, Barbe-Bleue ou encore la fée Morgane…
Athénée Théâtre Louis-Jouvet, Paris
Dernière œuvre du compositeur André Messager - et pas la moins vivante -, sur un livret de son complice Albert Willemet, ce Coups de roulis est aujourd’hui reprise par la compagnie des Frivolités Parisiennes. La mise en scène, confiée à Sol Espeche, s’inspire des telenovelas, envisageant les trois actes de l’opérette en autant d’épisodes de soap opera.