1870, la Commune de Paris, 1871, la révolte de Mokrani en Algérie, 1878, l'insurrection kanak en Nouvelle-Calédonie, trois récits qui s'entrecroisent. Un spectacle musical où les mélodies traversent les hémisphères pour créer un horizon commun. À partir de 15 ans. 

À l’issue du spectacle Kaldûn, Abdelwaheb Sefsaf vous invite en « after » : une fête tout en couleurs où la musique live est assurée par son groupe Aligator. Accompagné de ses complices musiciens, il saura nous faire chanter, danser et vibrer jusqu’au bout de la soirée.

1870, la Commune de Paris, 1871, la révolte de Mokrani en Algérie, 1878, l'insurrection kanak en Nouvelle-Calédonie, trois récits qui s'entrecroisent. Un spectacle musical où les mélodies traversent les hémisphères pour créer un horizon commun. À partir de 15 ans. 

Abdelwaheb Sefsaf poursuit son récit autobiographique en musique et évoque ici, à travers ses yeux d’adolescent, la figure de son père et les motivations de son départ de l’Algérie pour la France dans les années 50.

Abdelwaheb Sefsaf poursuit son récit autobiographique en musique et évoque ici, à travers ses yeux d’adolescent, la figure de son père et les motivations de son départ de l’Algérie pour la France dans les années 50.

Sous la forme d’un récit croisé, Si loin si proche raconte les rêves de retour en « Terre promise » dans les années 70 - 80 d’une famille d’immigrés algériens. Un conte épique, un bonheur d’humour et de lucidité, entre récit et musique pour dire que partir, c’est ne jamais revenir. À partir de 12 ans.

Sous la forme d’un récit croisé, Si loin si proche raconte les rêves de retour en « Terre promise » dans les années 70 - 80 d’une famille d’immigrés algériens. Un conte épique, un bonheur d’humour et de lucidité, entre récit et musique pour dire que partir, c’est ne jamais revenir. À partir de 12 ans.

Sous la forme d’un récit croisé, Si loin si proche raconte les rêves de retour en « Terre promise » dans les années 70 - 80 d’une famille d’immigrés algériens. Un conte épique, un bonheur d’humour et de lucidité, entre récit et musique pour dire que partir, c’est ne jamais revenir. À partir de 12 ans.

Bourré d’humour, Médina Mérika nous plonge dans une ville arabe imaginaire, lieu de toutes les frustrations et de toutes les exaltations. C’est là que vit Ali, jeune réalisateur, fou de cinéma américain. Son désir d’insuffler la modernité dans le cinéma arabe ne plaît pas à tout le monde et il disparaît, laissant son épouse Lila démunie.

Sur fond de tapis d’orient, deux musiciens, un peintre, la présence et le chant puissant d’Abdelwaheb Sefsaf font écho aux écrits de Mahmoud Darwich. Une langue qui chante l’amour, la fraternité et la joie.