Église de la Madeleine, Paris
L'Ensemble Royal de Paris et les trois solistes Dorian Rambaud, Olga Vojnovic et William Henry Fielding vous donnent rendez-vous pour célébrer Noël.
Salle Gaveau, Paris
Toutes deux figures iconiques de l’ouverture musicale, avec une inventivité sans limites, Christina Pluhar et la mezzo-soprano suédoise Malena Ernman ont conçu Terra Mater comme un hymne à la nature ouverte aux quatre vents. Porté par la vocalité si singulière et fascinante de cette dernière et la virtuosité époustouflante de L’Arpeggiata, ce concert prend la forme d’un bouquet aux mille couleurs, placé sous l’égide de la Terre nourricière menacée par la folie des hommes.
Salle Gaveau, Paris
Deux voix magnifiques, virtuoses et intenses, s’unissent pour évoquer les visages de Marie : la lumière radieuse de Marie Perbost se fondra admirablement à l’opulence soyeuse d’Anthea Pichanick. Il va sans dire que les très brillantes Épopées placées sous la direction de Stéphane Fuget seront en tous points au diapason de leurs chanteuses.
Salle Gaveau, Paris
C’était il y a déjà 10 ans, en 2015, que quatre jeunes et talentueux musiciens du Conservatoire National Supérieur de Paris fondaient Le Consort. Depuis, l’ensemble a fait bien du chemin, jusqu’à se hisser parmi les formations les plus en vue d’aujourd’hui. Si chacun des membres actuels poursuit une brillante carrière soliste, le travail chambriste reste une de leur plus grande passion.
Église Sainte-Élisabeth-de-Hongrie, Paris
Peu d’artistes sont aujourd’hui capables de vous envouter comme un « Farinelli » si ce n’est Mathieu Salama, ce sopraniste lyrique contre-ténor à la voix si particulière, si différente et aux inflexions parfois enfantines voire étranges ; il va faire revivre le répertoire d’arias, d’airs sacrés et d’airs d’opéra, composés pour les grands castrats par Haendel, Caccini, Caldara, Porpora, mais aussi Bach ou Purcell. Un hommage aux castrats et à l’âge d’or de ces voix disparues.
Église Sainte-Élisabeth-de-Hongrie, Paris
Peu d’artistes sont aujourd’hui capables de vous envouter comme un « Farinelli » si ce n’est Mathieu Salama, ce sopraniste lyrique contre-ténor à la voix si particulière, si différente et aux inflexions parfois enfantines voire étranges ; il va faire revivre le répertoire d’arias, d’airs sacrés et d’airs d’opéra, composés pour les grands castrats par Haendel, Caccini, Caldara, Porpora, mais aussi Bach ou Purcell. Un hommage aux castrats et à l’âge d’or de ces voix disparues.
Église Sainte-Élisabeth-de-Hongrie, Paris
Peu d’artistes sont aujourd’hui capables de vous envouter comme un « Farinelli » si ce n’est Mathieu Salama, ce sopraniste lyrique contre-ténor à la voix si particulière, si différente et aux inflexions parfois enfantines voire étranges ; il va faire revivre le répertoire d’arias, d’airs sacrés et d’airs d’opéra, composés pour les grands castrats par Haendel, Caccini, Caldara, Porpora, mais aussi Bach ou Purcell. Un hommage aux castrats et à l’âge d’or de ces voix disparues.
Eglise Saint-Julien Le Pauvre, Paris
« Furioso Barocco » les plus beaux airs baroques Vivaldi, Haendel, Purcell, Bach/Gounod, Frescobaldi.
Église Sainte-Élisabeth-de-Hongrie, Paris
Peu d’artistes sont aujourd’hui capables de vous envouter comme un « Farinelli » si ce n’est Mathieu Salama, ce sopraniste lyrique contre-ténor à la voix si particulière, si différente et aux inflexions parfois enfantines voire étranges ; il va faire revivre le répertoire d’arias, d’airs sacrés et d’airs d’opéra, composés pour les grands castrats par Haendel, Caccini, Caldara, Porpora, mais aussi Bach ou Purcell. Un hommage aux castrats et à l’âge d’or de ces voix disparues.
Salle Cortot, Paris
« Furioso Barocco » les plus beaux airs baroques Vivaldi, Haendel, Purcell, Bach/Gounod, Frescobaldi.
Théâtre le Ranelagh, Paris
Église Sainte-Élisabeth-de-Hongrie, Paris
Peu d’artistes sont aujourd’hui capables de vous envouter comme un « Farinelli » si ce n’est Mathieu Salama, ce sopraniste lyrique contre-ténor à la voix si particulière, si différente et aux inflexions parfois enfantines voire étranges ; il va faire revivre le répertoire d’arias, d’airs sacrés et d’airs d’opéra, composés pour les grands castrats par Haendel, Caccini, Caldara, Porpora, mais aussi Bach ou Purcell. Un hommage aux castrats et à l’âge d’or de ces voix disparues.
Opéra Royal de Versailles, Versailles