Fille d’émigrés bulgares, Elizabeth Mazev commence sa carrière d’actrice à dix ans dans la première pièce d’Olivier Py, Deluré l’Artichaut, les tribulations d’un apprenti pâtissier maladroit mais malin. Leur collaboration se poursuivra au collège et au lycée à Cannes puis plus tard à Paris pendant plus de trente ans.
Elle écrit son premier texte en cinquième, La rentrée, un poème en octosyllabes rimé. Après ce début prometteur, elle attendra l’âge de vingt-cinq ans pour écrire son deuxième texte, il fait vingt lignes. Son ami Olivier lui suggère de faire de la première le titre, et des suivantes un paragraphe, elle s’exécute, il la met en scène.
Elle joue Mon père qui fonctionnait par périodes culinaires et autres cinquante fois et rencontre à l’issue d’une des représentations Jean-Luc Lagarce et François Berreur, qui la publieront aux Solitaires Intempestifs.
Deux ans plus tard, elle décide d’écrire son histoire avec Olivier. Ils jouent Les drôles plus de cinquante fois. Sept ans après, elle écrit Les Cigales et Mémoire pleine, créé à Théâtre Ouvert à Paris, dirigée par François Berreur.
Sa route croise celle de Valère Novarina, de Marion Aubert, de Sophie Calle, de Gregory Motton et de David Lescot, mais elle aime aussi jouer Claudel dirigé par Jean-Pierre Vincent ou Olivier Py.
Elle aime beaucoup les commandes, comme celle d’Alexandra Tobelaim pour son spectacle Pièces de cuisine, qui traitent de nourriture ; ou Thibault Rossigneux pour ses Binômes.
Avec Thibaut Rossigneux, son voisin, elle écrit un feuilleton théâtral ayant pour lieu unique le réduit-poubelle de leur copropriété. Elle a deux devises d’autrice. La première : « L’art naît de contraintes et meurt de liberté. » C’est beau et c’est vrai. C’est d'André Gide. La seconde : « Il n'y a rien de mieux que la vérité. C’est moche, mais c’est vrai. » Et c’est d’elle.
Théâtre 14, Paris
Tous les soirs, Claire et Solange inventent des histoires, se fardent, s’habillent et jouent à être une autre pour échapper à la trivialité de leur quotidien.
Reine Blanche, Paris
Une hypothèse autobiographique de la gymnaste Nadia Comaneci, première athlète à avoir obtenu la note de dix aux barres asymétriques aux Jeux olympiques de Montréal en 1976. Comaneci ne peut-elle pas forcément tout rater après avoir réussi à incarner la perfection ?
Théâtre Jacques Carat à Cachan, Cachan
Les deux déesses est une revisite contemporaine du mythe de Déméter et Perséphone, qui met la place de ces deux femmes courageuses au centre en dénonçant les violences qu’elles subissent. Au plateau, comédiens et comédiennes sont portés par une musique envoûtante, mélange d’électro et d’acoustique, interprétée en direct. À partir de 14 ans
Espace Marcel Carné, Saint-Michel-sur-Orge
Les deux déesses est une revisite contemporaine du mythe de Déméter et Perséphone, qui met la place de ces deux femmes courageuses au centre en dénonçant les violences qu’elles subissent. Au plateau, comédiens et comédiennes sont portés par une musique envoûtante, mélange d’électro et d’acoustique, interprétée en direct. À partir de 14 ans
Théâtre 14, Paris
Tous les soirs, Claire et Solange inventent des histoires, se fardent, s’habillent et jouent à être une autre pour échapper à la trivialité de leur quotidien.
Points communs - Théâtre des Louvrais, Pontoise
L’immense metteur en scène Ivo Van Hove recrée, dix ans après sa mémorable version néerlandaise, une version française de deux textes d’Ingmar Bergman. Avec Charles Berling et Emmanuelle Bercot dans les rôles phares, il replonge dans l’intensité de Persona et d’Après la répétition.
Théâtre de la Ville-Sarah Bernhardt, Paris
L’immense metteur en scène Ivo Van Hove recrée, dix ans après sa mémorable version néerlandaise, une version française de deux textes d’Ingmar Bergman. Avec Charles Berling et Emmanuelle Bercot dans les rôles phares, il replonge dans l’intensité de Persona et d’Après la répétition.
MC93, Bobigny
Athénée Théâtre Louis-Jouvet, Paris
Théâtre Lepic, Paris
Théâtre Silvia Monfort, Paris