Le tg STAN s'est lancé le défi de jouer dans la foulée L’Avare et Le Bourgeois gentilhomme, deux classiques de Molière. C’est parti pour une soirée de plaisir théâtral menée au pas de course, avec l’accent flamand s’il vous plaît ! A partir de 14 ans.

Les joyeux drilles du collectif tg STAN observent à la loupe un couple de bobos, ils épinglent avec une cruelle ironie leurs préjugés et faux semblants. Un jeu de massacre jubilatoire qui ébranle toutes nos certitudes. Une satire au vitriol qui sidère autant qu’elle fait rire.

C'est le pari fou d'une collaboration entre cinq comédiens de différentes compagnies. Qu'ils fassent partie de tg STAN, de KOE, Dood Paard, ou encore de Maatschappij Discordia, tous ont en commun l'envie de faire du théâtre un lieu où les conventions sont renversées et où le jeu permet de servir l'adresse directe au spectateur afin de l'intégrer à la représentation.

La rencontre entre deux personnages, un auteur dramatique sans le sou et un metteur en scène à succès. Truculence, humour pince-sans-rire, le bon vivant Damiaan De Schrijver n'aime rien tant que démonter les rouages de la machine théâtrale. D'après le film de Louis Malle, avec Damiaan De Schrijver et Peter Van den Eede.

Dans le cadre du Festival d'Automne à Paris, la troupe flamande des tg STAN fait escale au Théâtre de la Bastille avec leur nouvelle création, Les Estivants de Maxime Gorki. Des amis, tous membres de la bonne société, se retrouvent l'été dans une datcha. Ils ne font rien, sinon parler d'éducation, d'amour, de littérature… Ecrite en 1904 à l'aube de la Révolution, cette pièce montre la léthargie d'un monde qui ne sent pas venir sa fin.

La Comédie-Française reçoit trois collectifs issus de l’avant-garde flamande, née dans les années 80 autour du désir de mettre sens dessus dessous les codes théâtraux. Au programme donc, des comédiens s’amusant à faire dérailler toutes les règles théâtrales. Les sociétaires choisis pour l’expérience réalisent cette performance avec un plaisir non dissimulé. Un must !

Les STAN offrent une approche ingénieuse et distanciée de cette pièce profondément amère d’Arthur Schnitzler. Le dramaturge viennois y pose, non sans une certaine perplexité, la question du cynisme et de l’effondrement des valeurs dans un monde désenchanté.

Changeant de costumes au son de la Marche de Radetzky, jonglant avec des d’accessoires, tg Stan exalte le sens du grotesque et de la poésie, les multiples registres à l’œuvre dans ces cinq esquisses de Thomas Bernhard où le travail de sape passe avant tout par la langue : une langue rageuse, incantatoire, brillante, qui fait la part belle aux monologues.

Changeant de costumes au son de la Marche de Radetzky, jonglant avec des d’accessoires, tg Stan exalte le sens du grotesque et de la poésie, les multiples registres à l’œuvre dans ces cinq esquisses de Thomas Bernhard où le travail de sape passe avant tout par la langue : une langue rageuse, incantatoire, brillante, qui fait la part belle aux monologues.

La rencontre entre deux personnages, un auteur dramatique sans le sou et un metteur en scène à succès. Truculence, humour pince-sans-rire, le bon vivant Damiaan De Schrijver n'aime rien tant que démonter les rouages de la machine théâtrale. D'après le film de Louis Malle, avec Damiaan De Schrijver et Peter Van den Eede.