S’inspirant de poèmes de Victor Hugo, Sylvain Daniel livre un album aux titres variés et envoûtants, teintés de mélancolie. Une œuvre poétique et musicale d’une grande densité dramatique.

Dans un espace quadriphonique, le son intemporel du quatuor à cordes se mêle aux textures électroniques du synthé modulaire, jusqu’à ne plus être qu’une seule entité sonore. L’évolution de la musique, longue et progressive, permet de traverser différentes écritures, entre minimalisme, pop et chaos bruitiste, nous plaçant dans un univers onirique et introspectif.

La grande chorégraphe française Catherine Diverrès « soumet » l’écriture chorégraphique à la partition musicale de Jean-Luc Guionnet, compositeur et complice de longue date. Un concerto porté par huit danseurs et sept instrumentistes.

Le compositeur allemand Alexander Schubert réunit quatre pièces récentes dans un spectacle multimédia. Sa musique électronique aux accents de free jazz et de techno, y compris hardcore, s’accompagne de six musiciens, d’images vidéo, d’effets sonores et lumineux manipulés en temps réel.

Cet étonnant quintet se rencontre lors des soirées mosaïques d’archives sonores imaginées par Wilfried Wendling à la Maison de la Poésie en mai 2011. Poésie d’aujourd’hui et d’hier s’y mêlent au son de ce quatuor à cordes un peu spécial.

A travers un choix de fables, trois comédiens, accompagnés d'un alto, conjuguent l'art de conter et de dire pour rendre de la façon la plus simple et la plus pure les vers de La Fontaine et ses brèves histoires issues du fond humain universel.

A travers un choix de fables, trois comédiens, accompagnés d'un alto, conjuguent l'art de conter et de dire pour rendre de la façon la plus simple et la plus pure les vers de La Fontaine et ses brèves histoires issues du fond humain universel.