Alexandre Liberati découvre le théâtre en 2007 à Juvignac, auprès de Frédérique Bruel. La même année, il commence également la danse hip-hop avec Erika Fura, au sein de l’association C2.
En 2014, il intègre le Conservatoire à Rayonnement Régional de Montpellier, où il se forme auprès d’Hélène de Bissy et de Gildas Milin, qui l’accompagnent notamment dans la préparation aux concours des grandes écoles nationales.
En 2016, il est admis à l’ESTBA (École Supérieure de Théâtre Bordeaux Aquitaine), dirigée par Catherine Marnas et Franck Manzoni. Il y travaille avec Bénédicte Simon, Jean-Yves Ruf, Stuart Seide ou encore Claude Degliame, et y obtient en 2019 le DNSPC (Diplôme National Supérieur Professionnel de Comédien). Durant sa formation, il approfondit également la danse avec Muriel Barra, Bénédicte Billiet (interprète de la compagnie Pina Bausch) et Gabriela Carrizo, cofondatrice de la compagnie Peeping Tom.
À sa sortie, il devient acteur associé au Centre Dramatique National de Dijon Bourgogne, sous la direction de Benoît Lambert et Sophie Chesne. Il y joue How Deep is Your Usage de l’Art (Nature Morte) de Benoît Lambert, Jean-Charles Massera et Antoine Franchet, puis La Mouette, je n’ai pas respecté le monopole de Céline Champinot, une pièce conçue pour l’itinérance et les plateaux. Créée au Théâtre Dijon Bourgogne, cette forme légère de cinquante minutes de Tchekhov est jouée plus de 150 fois dans les lycées de Bourgogne-Franche-Comté, devant plus de 8000 lycéen·ne·s en 2020.
La même année, il joue dans FOL, une pièce écrite et mise en scène par Marion Cadeau au sein de la compagnie La Bleue.
À l’été 2020, il retrouve Jean-Yves Ruf dans le cadre des Chantiers Nomades, organisés à la Maison Jacques Copeau à Pernand-Vergelesses, pour un laboratoire de recherche et de jeu autour du monologue de l’acteur.
Depuis 2021, il est en tournée dans La Tendresse de Julie Berès et écrite par Kevin Keiss, Lisa Guez et Alice Zeniter. Cette pièce donne la parole à de jeunes hommes pour explorer les injonctions à la virilité et les contradictions de la masculinité contemporaine. Entre témoignages, danse, et humour, le spectacle mêle écriture documentaire et performance physique dans une forme chorale, sensible et politique. La Tendresse cumule actuellement plus de 200 représentations en France et à l’international.
Photo : © Natacha Lamblin
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Théâtre des Bouffes Parisiens, Paris
Les garçons de La Tendresse ont souvent dû se mentir à eux-mêmes pour appartenir au « groupe des hommes », pour correspondre à la « fabrique du masculin ». À partir de 15 ans
Bouffes du Nord, Paris
Les garçons de La Tendresse ont souvent dû se mentir à eux-mêmes pour appartenir au « groupe des hommes », pour correspondre à la « fabrique du masculin ». À partir de 15 ans
L'Azimut - Théâtre La Piscine, Châtenay-Malabry
Les garçons de La Tendresse ont souvent dû se mentir à eux-mêmes pour appartenir au « groupe des hommes », pour correspondre à la « fabrique du masculin ». À partir de 15 ans
Avant-Seine, Colombes
Les garçons de La Tendresse ont souvent dû se mentir à eux-mêmes pour appartenir au « groupe des hommes », pour correspondre à la « fabrique du masculin ». À partir de 15 ans
Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Montigny-le-Bretonneux
Les garçons de La Tendresse ont souvent dû se mentir à eux-mêmes pour appartenir au « groupe des hommes », pour correspondre à la « fabrique du masculin ». À partir de 15 ans
Bouffes du Nord, Paris
Les garçons de La Tendresse ont souvent dû se mentir à eux-mêmes pour appartenir au « groupe des hommes », pour correspondre à la « fabrique du masculin ». À partir de 15 ans
Théâtre de Châtillon, Châtillon
Les garçons de La Tendresse ont souvent dû se mentir à eux-mêmes pour appartenir au « groupe des hommes », pour correspondre à la « fabrique du masculin ». À partir de 15 ans
Théâtre 13 - Bibliothèque, Paris
Tout commence par une représentation dans une salle de classe, une tentative ratée. Deux générations d’artistes, deux couples se font face. Konstantin rêve d’écrire des formes nouvelles, Nina de devenir une actrice célèbre, Irina et Boris tiennent le haut de l’affiche et répètent indéfiniment les recettes de leur succès. Et les puissants humilient ceux qu’ils aiment.
TGP - CDN de Saint-Denis, Saint-Denis
Les garçons de La Tendresse ont souvent dû se mentir à eux-mêmes pour appartenir au « groupe des hommes », pour correspondre à la « fabrique du masculin ». À partir de 15 ans
Espace 1789, Saint-Ouen
Les garçons de La Tendresse ont souvent dû se mentir à eux-mêmes pour appartenir au « groupe des hommes », pour correspondre à la « fabrique du masculin ». À partir de 15 ans