Philippe Avron - Je suis un saumon

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Dans ce spectacle au titre un peu étrange, Philippe Avron nous dépeint un voyage fantastique et fabuleux entre l’Allier et le Groenland de 6 saumons sauvages. Au cours de ce périple savoureux, ils croiseront, entre autres, la route d’une baleine diva et amoureuse, d’un psychanalyste « ichtyologue », le Professeur Lesturgeon, un saumon pakistanais émigré, Soufi Soufi…

Le comédien, qui a joué avec Vilar, Brook, Benno Besson ou Planchon, avoue avoir toujours été fasciné par cet animal dont la vie s’achève par une unique et ultime copulation donnant naissance à une nouvelle génération. Le saumon est pour lui un messager de l’amour. A travers cette allégorie, il nous livre sa philosophie de la vie dans un spectacle où l’humour côtoie la finesse et l’intelligence. Son interprétation est sans faille et sa générosité sans limite. Vous arriverez sans doute, vous aussi, à la conclusion que vous êtes un saumon !

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• La presse

« Une pure gourmandise. Un texte d’une grande beauté et d’une intelligence simple. Philippe Avron est un comédien rare, formé à l’école des cabarets et de Jean Vilar. Ces dernières années, il nous avait offert un voyage au pays du théâtre avec son spectacle « Ma cour d’honneur. » Aujourd’hui, il nous propose de découvrir le monde des saumons. C’est extraordinaire, le texte de Philippe Avron est beau, drôle, émouvant. Son interprétation est sans faille. Quel talent ! Excellent conteur et bon pêcheur, Avron nous fait mordre à l’hameçon. On est captivé par son histoire. » Pariscope, mars 99

« Equipée d’un sauvage narrée par Avron avec éloquence, une succulente maestria. Humour, poésie, émotion, tout est bon dans son saumon. Nous vous convions à partager ce bonheur à contre-courant. » A. M. Paquotte, Télérama, janvier 1999

« Clins d’œil et mots d’esprit abondent, finesse et intelligence sont au rendez-vous : une rencontre-confidence avec le spectateur. » Fabienne Pascaud, Télérama, mars 1999

« Philippe Avron excelle dans ce genre théâtral où le comédien, saisi par l’écriture, joue du masque, du mime, des mots, du bon mot. Le tout en délicatesse. » La Croix, janvier 1999

« Philippe Avron offre un formidable cri du cœur plein d’humanité, d’amour et de poésie. » La Provence, octobre 2000

« Durant une petite heure et demie, la finesse le dispute à l’humour. Au final, le plaisir est total comme chaque fois que l’intelligence et la gaieté se rejoignent dans les eaux saumâtres de la poésie. » La Marseillaise, octobre 2000

« Nous n’en sommes même pas à la moitié du spectacle, mais déjà fascinés par Philippe Avron, l’intelligence de son texte, son immense maîtrise de la scène, son talent, oh ! même son génie de comédien. C’est un plaisir total. Il joue des mots et des consonances, il nous entraîne dans sa gaieté, déclenche le rire et nous laisse le savourer en l’appuyant d’un sourire comme s’il nous disait : «  elle est bonne, hein, celle-là ? je suis content qu’elle vous fasse plaisir » Précieuse complicité ! après les rires, il reprend la salle pour un moment d’émotion. » Présent littéraire, avril 1999

« Entre poète et conteur, fabuliste et affabulateur, Philippe Avron reprend un exercice de style où il est maître : le spectacle à une voix. (…)Il joue, il s’amuse, Avron, avec sa frimousse enfantine, ses yeux écarquillés, qui prend aussi des mines de Stan Laurel ou Buster Keaton. Il palpe, il brasse l’espace avec ses mains grandes comme des nageoires. Sa grande écharpe rouge devient fleuve, montagne, barrages. Il surfe et bondit par-dessus les jeux de mots, prend toutes les sortes d’accent, pastiche Bernard Pivot, imite Luchini…On sourit plus qu’on ne rit de peur de manquer un mot dans ce turbulent voyage. Mieux que drôle, c’est fin et spirituel. » Le Parisien, janvier 1999

« Intelligent et drôle, moqueur et fantaisiste, en un mot spirituel, Philippe Avron raconte avec toutes les subtilités de son art de comédien et sa simple humanité amicale, la folle épopée de 6 saumons sauvages.(…) On rit parfois, on sourit beaucoup, des lèvres ou de l’âme, à cette belle métaphore de la vie. » Lyon Figaro, octobre 2000

« Dans le sillage de ce précieux saumon, un voyage unique, merveilleusement drôle et fraternel, un chemin étonnant à ne surtout pas manquer. » Le Journal du Dimanche, février 99

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