Pas Touche Terre

Clamart (92)
le 12 février 2002

Pas Touche Terre

Pas touche terre est une histoire d’amour ludique et pétillante, tendre comme un baiser, fragile comme un équilibre, énergique comme un saut périlleux… Elle, elle attend son prince mais pas forcément celui-ci. Lui, il s’invente une histoire mais pas forcément celle-là…


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Pas touche terre est une histoire d’amour ludique et pétillante, tendre comme un baiser, fragile comme un équilibre, énergique comme un saut périlleux… Elle, elle attend son prince mais pas forcément celui-ci. Lui, il s’invente une histoire mais pas forcément celle-là… Sans le moindre mot, avec parfois le son d’une voix cristalline et d’un bandonéon, leur rencontre nous amène là où l’on peut rêver d’aller à deux : sa terre à elle, c’est lui, et leur défi de ne plus toucher terre les entraîne vers un pas de deux vertigineux.

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La compagnie Vent d’Autan a fait de l’acrobatie son domaine de prédilection. En lui ôtant toute notion d’exploit, les deux artistes travaillent à l’approfondissement d’émotions visuelles. Le résultat est un bijou de tendresse, d’humour, de poésie et surtout de talent apprécié tant par les adultes que par les enfants. L’art du cirque est sublimé, non dans un numéro mais dans un spectacle entier.

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C’est époustouflant comme numéro dit de main à main, même si parfois, les portées se font par les pieds, ou sur le dos. Babeth Gros marche, voltige, enjambe…mais ne touche jamais la terre. En revanche, elle et Rémy touchent véritablement au sublime. Une perfection de tendresse et de poésie, d’humour apprécié tant par les enfants que par les adultes, et, surtout de talent. L’art du cirque sublimé. Non dans un numéro. Dans un spectacle entier. A deux.
Ce talent en effet, ils l’expriment pendant près d’une heure au cours d’un pas-de-deux vertigineux. Sans cesse en scène. Avec un cube, avec une perche (en bois de sapin) et avec une poupée de chiffons. Avec des acrobaties, avec des regards, avec des sourires radieux malgré l’effort, avec une envie de se donner sans compter, jusqu’à l’épuisement.

L’union Châlons en Champagne - 10 juin 1999

Sans le moindre mot, par la gestuelle et la performance acrobatique alliées à la musique et au chant – Babeth a un bien joli timbre de voix ! – Les deux artistes marchent sur un sentier de grande créativité poétique sans renier, pour autant, les fondements mêmes des arts du cirque.

Sud-Ouest - 27 septembre 1998

L’originalité de la proposition réside dans une déformation de l’acrobatie. La confrontation sentimentale de deux identités en quête d’unité est le long cheminement nécessaire pour accéder à la renaissance de l’autre. Les contacts évités/recherchés, en force ou en frôlements érotiques, en élan joyeux ou en retenues prometteuses construisent une géographie des corps sculptés par le désir naissant puis s’affirmant comme volonté.

Art Press - Septembre 99

Hymne à l’amour
Pas besoin de prise de tête, de messages à tiroirs. Si le cirque doit choisir une voie, qu’il suive pas à pas Rémy BALAGUE et Babeth GROS sur le chemin de l’amour. La découverte et la peur de la rencontre, les premiers pas un peu gauches, le premier baiser et la première brouille, la réconciliation et la fusion. Tout est clair, simple, sans effet de manche ou de style. Parfois une voix cristalline et un bandonéon triste soulignent le geste. Beau à en écraser une petite larme. Est-ce un numéro – au sens où l’on joue un numéro- ou est-ce l’amour qui se donne pudiquement en spectacle ? On choisit sans hésitation la deuxième proposition et le miracle durera tant que durera la passion entre les deux artistes, entre l’homme et la femme. Pourvu qu’elle ne meure jamais .

Sud-Ouest, 27 octobre 1997

Le duo Rémy BALAGUE –Babeth GROS approche la perfection dans la performance physique. Leur numéro d’acrobatie gymnique se trouve décuplé par le scénario écrit avec l’art du mime. L’histoire de deux êtres qui ne cessent de se rencontrer sans jamais se trouver…jusqu’au dernier moment. Une très longue plainte pour un étrange amour, telle une « respiration flamenca « où l’espoir est dans le dernier cri.

La Dépêche - 27 octobre 1997

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22, rue Paul Vaillant-Couturier 92140 Clamart
Spectacle terminé depuis le mardi 12 février 2002

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