Mille et une couleurs

Paris 18e
du 1 octobre 2003 au 4 janvier 2004

Mille et une couleurs

Comédie musicale pour enfants de 3 à 9 ans. Aidés par Javel, leur robot-ménager, Rose et Coton vivent dans un appartement blanc, tout blanc. Ils sont obsédés par la propreté. Mais, peu à peu, dans ce monde incolore, Rose s’étiole. Elle se lance alors à la poursuite des couleurs disparues. Au rythme de disputes et de réconciliations, Rose et Coton découvrent le bonheur de partager les mille et une couleurs de la vie !

Comédie musicale pour enfants de 3 à 9 ans

Résumé
Notes de l’auteur

La mise en scène

Lettres d’enseignants

La compagnie Patchwork

Aidés par Javel, leur robot-ménager, Rose et Coton vivent dans un appartement blanc, tout blanc. Ils sont obsédés par la propreté. Mais, peu à peu, dans ce monde incolore, Rose s’étiole. Elle se lance alors à la poursuite des couleurs disparues.

Au rythme de disputes et de réconciliations, Rose et Coton découvrent le bonheur de partager les mille et une couleurs de la vie !

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Imaginez que nous vivions dans un univers ou tout serait blanc : les arbres, le ciel, l’herbe, les villes et toutes les constructions de l’homme, jusqu’à l’homme lui même. Un monde où tout aurait été blanchi et aseptisé dans le but d’éradiquer tout risque pouvant mettre en danger la population. Un monde où la recherche de la santé, du risque zéro, de la longévité voir de l’immortalité nous pousseraient à perdre le goût des couleurs, des saveurs, des odeurs. A perdre le goût des autres.

Au delà de la découverte ludique des couleurs et de leur influence sur nos vies, ce spectacle met en scène un couple dont l’épanouissement réside dans l’affirmation des aspirations de chacun conjugué à la découverte et au partage des goûts de l’autre.

L’existence même des couleurs relève de la pluralité de celles-ci et de la lumière qu’elles réfléchissent.

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Fidèle à son désir de mélanger les techniques d’expressions théâtrales, James Hodges jongle ici avec les matières, les sons et les couleurs et intègre au jeu des comédiens celui d’une marionnette de taille humaine qui semble parfois échapper à leur contrôle. Il donne la vedette à celle sans qui les couleurs n’existeraient pas : la lumière !

Les chansons interprétées en direct par les deux comédiens sur une musique originale et orchestrée rythment l’ensemble de cette comédie musicale.

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« Comme à chacun des spectacles de la compagnie Patchwork, nous avons particulièrement apprécié dans Mille et une couleurs la clarté du spectacle et sa précision. Rien de superflu pour mettre en valeur l’essentiel. Beaucoup de simplicité dans l’expression des sentiments et des émotions. Une grande qualité dans le choix des matériaux, un vrai professionnalisme dans le jeu des acteurs. C’est toujours un réel plaisir pour les enfants et les adultes. » Ecole Maternelle, rue Carpeaux à Paris 18e
« Spectacle de très grande qualité. Scénario plein d’intérêt, décors magnifiques et astucieux, jeu théâtral des comédiens sans défaut, tous les ingrédients étaient réunis pour passer un agréable moment. Merci pour cette approche bien pédagogique. » Ecole Maternelle Les Templiers à Epinay sur Orge
« Les spectateurs de tous âges sont tenus en haleine jusqu’au dénouement. » Externat Médico-Pédagogique Arc en Ciel à Thiais
«  Spectacle très drôle et très visuel, bien adapté aux maternelles » Ecole Maternelle, allée Darius Milhaud à Paris 19e
« Costumes, histoires, décor, musique, acteurs, comme toujours, les spectacles de Patchwork sont réussis, suscitent l’enthousiasme des enfants et des adultes ! » Ecole Maternelle, rue des Bois à Paris 19e
« Bravo pour ce spectacle intelligent et drôle où rien n’est laissé au hasard. » Ecole Maternelle, cité Voltaire à Paris 11e
« Petits et grands sont tombés sous le charme. Nous n’avions pas assisté à une telle perfection depuis longtemps. » Ecole Concorde à Asnières

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La naissance d’une compagnie
Née de la rencontre d’un auteur-compositeur, Patrice Landré, d’une comédienne, Oona Hodges et d’un metteur en scène, James Hodges, tous trois passionnés de comédie musicale, la Compagnie Patchwork a aujourd’hui sept créations de théâtre musical à son actif.
Comme son nom l’indique, la Compagnie Patchwork s’est toujours employée à allier différentes techniques d’expression théâtrale. La musique et le caractère visuel de la mise en scène soutiennent l’attention des enfants en contrepoint d’un texte dont les niveaux de lecture diffèrent selon les spectateurs.

L’écriture
L’écriture d’un spectacle de théâtre pour enfants nécessite de la part de son auteur à la fois une grande rigueur et une grande liberté.
Quand on aime les mots, doit-t-on se limiter au seul vocabulaire enfantin ? Je ne le pense pas, d’autant plus que celui-ci diffère selon l’âge du spectateur. Cependant, il est indispensable pour les plus petits que les scènes parlées restent courtes et que l’idée directrice y soit exprimée le plus simplement. L’aspect ludique du langage doit primer ! Quant à la liberté de l’auteur, elle doit être à la mesure de l’imaginaire de l’enfant. A une époque où le verbe tend à fondre comme une peau de chagrin, je revendique le droit de na pas niveler notre langue par le bas, tant pour le fond que pour la forme. Ce qui est vrai à propos de l’écriture du texte l’est également pour celle de la musique.

La mise en scène
James Hodges qui a mis en scène tous nos spectacles et en a conçu les décors, costumes, masques et marionnettes est un homme de spectacle d’un éclectisme rare.
Ventriloque, marionnettiste, illusionniste et dessinateur, il est passionné de théâtre et de danse et a réalisé de nombreux décors, costumes, mises en scène et effets spéciaux pour l’Opéra de Marseille, l’Opéra d’Oslo, L’Européen, le Théâtre des Champs-Elysées, celui de Chaillot, le Théâtre de dix heures, et ce, pour des artistes tels que Joseph Lazzini, Jérôme Savary, Christian Fechner, Gérard Majax, Yves Carlevaris, Sylvia Montfort, Bertran Lotth, Mireille Laroche, Gibert Bécaud, Michel Polnareff, Bernard Haller, Fabien Tericsene…
Son sens de l’esthétisme et son goût de l’invention lui font souvent choisir le chemin de la stylisation. Pour lui, mettre en scène, c’est mettre des émotions en images et en chercher le rythme propre. En ce sens, il est d’emblée sur la même longueur d’onde que le jeune public si sensible à tout ce qui est visuel et auditif.

Patrice Landré

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Informations pratiques

Sudden Théâtre

14 bis, rue Sainte Isaure 75018 Paris

Spectacle terminé depuis le dimanche 4 janvier 2004

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