
Une ambiance poétique et festive
Des instruments qui dénotent
Sur scène
Ils en parlent
On parle de la « gargote » depuis le 14e siècle ! Depuis, ce drôle de mot a fait son chemin. Il s'écrit désormais avec un ou deux "t" : le groupe a choisi le plus simple. Pour plonger dans l'ambiance des bouis-bouis où l'on s’arrange avec les moyens du bord, à la bonne franquette. Cette expression résume bien l’état d’esprit de La Gargote qui arrive toujours à créer son alchimie.
On retrouve différentes sources d’inspirations : la richesse harmonique des Têtes Raides, les coups de gueule de la Tordue, les ritournelles travaillées au corps de Brassens, la force rocailleuse de Brel ou encore la gouaille parisienne et les chansons réalistes à la Renaud.
Quand le tempo s’accélère, d’autres influences musicales se font entendre avec le vibrato yiddish de la clarinette, la sensibilité tzigane qui circule dans la guitare ou la contrebasse, mais aussi avec des chansons de marins voire même de troubadours.
En 2005, sortie d'un nouvel abum, Sans raison (distribution Musicast).
Paroles et musiques de Jérôme Arnould et Michaël Sabba.
Le son de la Gargote, c’est une foule d’instruments authentiques : une trentaine avec les accessoires !
C'est d'abord la beauté des instruments, posés sur scène, qui frappe. Dans la salle de concert, ni guitare électrique, ni batterie n'attendent l'arrivée des musiciens de la Gargote. Le regard du public parcourt les courbes des guitares et de la contrebasse, découvre une clarinette, un accordéon, puis une collection de flûtes. Soudain les six complices apparaissent, descendent l'escalier et lancent une valse… c'est parti !
La fougue des guitares et la cadence de la contrebasse rivalisent avec le swing de l'accordéon et du piano, la chaleur des flûtes et les envolées de la clarinette. Mais l'oreille découvre aussi les sonorités du guide-chant, les vibrations de la scie musicale, les sons baroques de la viole ou du dulcimer, la douceur du concertina, ou le bourdon du tuba.
Et côté tempo, le banjo, la grosse caisse de fanfare, les wood-blocks et la derbouka, font danser tout ça !
En plein air dans les rues de Bretagne ou dans des caveaux de la rive gauche parisienne, La Gargote a fait chanter ses instruments dès qu’elle l’a pu : cafés, théâtres, festivals, ou MJC, le groupe a déjà plus d’une centaine de concerts derrière lui !
Ses repères traditionnels sont le Théâtre des déchargeurs Paris 1er, L’Ogresse - Paris 20e, L’Attirail, Le Baiser Salé, La Balle au Bond, El Alamein, Le Bouquin Affamé, Théâtre Pandora, le Théo Théâtre, le Bouffon théâtre, la Maroquinerie, le Sentier des Halles, le Zèbre de Belleville...
« Chaque chanson de La Gargote est une surprise, cohérente et fraîche. Les musiciens, dont l'aisance est indéniable, ne se prennent pourtant pas au sérieux ! Leurs transitions sont pleines d'humour, de piques ou de clins d'œil complices au public. Au final, les saltimbanques se faufilent dans les rangs du public[…] Sous le charme, le public se surprend à chanter avec eux, très fort, dans la salle trop petite. Libéré. » Nicolas Guillas, Bayard Presse
"Comme nous, nous les aimons, vous les aimerez aussi. Entre accordéons, guitares, piano, contrebasse, scie musicale (et même une flûte géante, à voir absolument !), ils racontent des histoires de Paris, de voyages, de trésors et de gens que l'on aimerait voir exister. " Newsletter du groupe Le Chien d’en Face
« Un groupe issu de la grande famille des néoréalistes, dans la très droite lignée de La Tordue ou des Têtes Raides, avec influences yiddisho-tsiganes itou. » Stéphane Moran, Le Monde-Aden
« Chaque soir, la magie opère… Dès les premières minutes, la salle s’aperçoit avec bonheur que ces artistes-là possèdent des atouts rares : une excellente maîtrise d’une quinzaine d’instruments : guitares, contrebasse, accordéon, piano, flûtes, scie musicale, concertina, tuba, viole, banjo (…), des voix masculines rauques et vibrantes, des textes poétiques et un incroyable sens de la scène. La parenté avec d’autres groupes dits réalistes comme les Têtes Raides ou La Tordue est évidente, mais les sources d’inspiration de La Gargote sont plus larges encore. Leurs chansons portent aussi la trace des envolées de Brel, de la gouaille parisienne ou encore des discours révoltés de Renaud (...). Quand à leur musique, elle emprunte tout à la fois aux répertoires tziganes, yiddishs et traditionnels. Malgré leur talent peu commun, les « Gargoteurs » ne se prennent pas au sérieux. Courez-y ! » Catherine Balle, Le Parisien
Magnifique ! Ca fait plaisir de se retrouver dans cette ambiance chaleureuse, c'était au Zèbre de Belleville...On en a eu plein les mirettes et les oreilles, que d'instruments qui se répondent et discutent. Bravo et merci pour ce très bon moment !
Magnifique ! Ca fait plaisir de se retrouver dans cette ambiance chaleureuse, c'était au Zèbre de Belleville...On en a eu plein les mirettes et les oreilles, que d'instruments qui se répondent et discutent. Bravo et merci pour ce très bon moment !
20, rue Théodore Deck 75015 Paris