Takuya Muramatsu, membre de Dairakudakan depuis 1994, a conçu une chorégraphie pour treize danseurs dans laquelle on retrouve le mélange du sublime et du grotesque, l’humour cruel qui ont fait la renommée de la troupe dans le monde entier.
Tout comme on jette les déchets et les choses devenues inutiles dans le caniveau ou l’égout (« dobu » en japonais), dans les villes d’aujourd’hui on rejette, on cache les malades et les invalides. Mais dans une telle société, n’est-ce pas l’homme en général qui risque d’être mis au rebut ? A partir de ce constat, Takuya Muramatsu, membre de Dairakudakan depuis 1994, a conçu une chorégraphie pour treize danseurs dans laquelle on retrouve le mélange du sublime et du grotesque, l’humour cruel qui ont fait la renommée de la troupe dans le monde entier.
En 2007, les Dairakudakan firent un triomphe à la MCJP avec une pièce de butô à la folie contagieuse, un bijou de féerie. Ils reviennent en force avec deux spectacles pour mieux fouetter nos imaginaires. Akaji Maro, le leader charismatique de cette troupe légendaire, a confié à deux de ses danseurs les chorégraphies de ces deux pièces, l’une exclusivement féminine (Yupiters), l’autre masculine (Dobu), à fleur de peau.
Direction artistique : Akaji Maro
Vous avez vu ce spectacle ? Quel est votre avis ?
Informations pratiques - Maison de la culture du Japon à Paris
Maison de la culture du Japon à Paris
101 bis quai Branly 75015 Paris
Bar
Librairie/boutique
Salle climatisée
Tour Eiffel
Métro :
Bir-Hakeim à 108 m (6)
RER :
Champ de Mars Tour Eiffel à 178 m (C)
Bus :
Bir-Hakeim à 18 m, Champ de Mars à 290 m, Pont de Bir-Hakeim à 305 m, Desaix à 336 m