Formé d’une pléiade d’artistes venant des musiques classiques, jazz, improvisées ou anciennes, cet ensemble inclassable et passionné de théâtre nous invite autant à « regarder » qu’à « écouter », et nous embarque dans une interprétation mutante d’une pièce pour clavecin de Carl Philipp Emanuel Bach, un concerto joyeusement déconstruit.

L’Orchestre La sourde s’attèle à créer une symphonie particulière : une symphonie dont chacun des mouvements serait façonné par les histoires, les récits de personnes volontaires qui ont raconté aux musiciens leurs « miracles », ces signes de l’invisible qu’ils ont perçus.

Formé d’une pléiade d’artistes venant des musiques classiques, jazz, improvisées ou anciennes, cet ensemble inclassable et passionné de théâtre nous invite autant à « regarder » qu’à « écouter », et nous embarque dans une interprétation mutante d’une pièce pour clavecin de Carl Philipp Emanuel Bach, un concerto joyeusement déconstruit.

Où l’on trouve : un harpon, le mur des jubilations, des agrafes, des femmes fuyant la musique sacrée, deux petits seins tranchés.

Dostoïevski, une femme suicidée, un monologue intérieur, un préteur sur gage, une servante muette, un musicien insolite. Une odeur de choux, un frigo boîte à musique, une tache de sang, un lit en fer-blanc, des icônes, un sous-sol.

Où l’on trouve : un harpon, le mur des jubilations, des agrafes, des femmes fuyant la musique sacrée, deux petits seins tranchés.

Julie Deliquet orchestre ici la cohabitation entre travailleurs sociaux et bénéficiaires cabossés. Remarquable adaptation du documentaire de Frederick Wiseman, Welfare se révèle être une comédie humaine toute aussi absurde que burlesque. Spectacle d’ouverture du 77e festival d'Avignon.

Où l’on trouve : un harpon, le mur des jubilations, des agrafes, des femmes fuyant la musique sacrée, deux petits seins tranchés.

Dostoïevski, une femme suicidée, un monologue intérieur, un préteur sur gage, une servante muette, un musicien insolite. Une odeur de choux, un frigo boîte à musique, une tache de sang, un lit en fer-blanc, des icônes, un sous-sol.

Formé d’une pléiade d’artistes venant des musiques classiques, jazz, improvisées ou anciennes, cet ensemble inclassable et passionné de théâtre nous invite autant à « regarder » qu’à « écouter », et nous embarque dans une interprétation mutante d’une pièce pour clavecin de Carl Philipp Emanuel Bach, un concerto joyeusement déconstruit.