Mignon Palace, chapitre deux. Après le triomphe remporté au Théâtre du Nord pendant les fêtes de Noël il y a deux ans, Gilles Defacque poursuit son autofiction bouffonne et circassienne avec un nouveau music-hall décalé et déjanté. Tout en restant fidèle à son univers burlesque et à son esthétique hétéroclite, le clown du Prato n’a pas fini de nous faire rire et de nous étonner.

Gilles Defacque, animateur historique du Théâtre du Prato, nous revient avec une nouvelle variation autobiographique sur son enfance en Baie de Somme dans les coulisses d’une salle de bal un peu music hall un peu cinéma de quartier.

Au delà des kilomètres de tôle et de poussière, des rencontres humaines et artistiques sont nées d’un voyage à Brazzaville, avec cette heureuse évidence : la danse contemporaine existe là-bas comme ici, les artistes y sont les mêmes. De ce parcours est arrivé l’envie de réunir sur le plateau une dizaine d’interprètes : comédiens, danseurs, musiciens et acrobates posant directement en scène les bases de la dramaturgie.

Au delà des kilomètres de tôle et de poussière, des rencontres humaines et artistiques sont nées d’un voyage à Brazzaville, avec cette heureuse évidence : la danse contemporaine existe là-bas comme ici, les artistes y sont les mêmes. De ce parcours est arrivé l’envie de réunir sur le plateau une dizaine d’interprètes : comédiens, danseurs, musiciens et acrobates posant directement en scène les bases de la dramaturgie.

Il est question du passage où l’on oublie et abandonne la quête de soi et de son être pour une recherche de l’avoir. Se remplir pour compenser. Cette création associe acrobates et comédiens à un texte de Ronan Chéneau. Il s'agit de provoquer la rencontre de différentes disciplines : texte, vidéo, cirque, arts visuels et nouvelles technologies.

Il est question du passage où l’on oublie et abandonne la quête de soi et de son être pour une recherche de l’avoir. Se remplir pour compenser. Cette création associe acrobates et comédiens à un texte de Ronan Chéneau. Il s'agit de provoquer la rencontre de différentes disciplines : texte, vidéo, cirque, arts visuels et nouvelles technologies.

Il est question du passage où l’on oublie et abandonne la quête de soi et de son être pour une recherche de l’avoir. Se remplir pour compenser. Cette création associe acrobates et comédiens à un texte de Ronan Chéneau. Il s'agit de provoquer la rencontre de différentes disciplines : texte, vidéo, cirque, arts visuels et nouvelles technologies.

Monsieur Loyal perd la raison : le chapiteau s’est effondré ! Avec son Auguste il part en quête des animaux. Entrées clownesques, jeu burlesque, musique en direct, bike, corde, trapèze et fil, autour des thèmes de la quête du silence, du sommeil, de l’enfance, pour un théâtre-cirque mené tambour-battant, inspiré de La Petite Fille aux allumettes.

Voici des corps (il y a sept comédien[ne]s), dont le périmètre bouge, dont l’aplomb vacille, dont l’impact change, certains remuent, une parole émerge peut-être du fond des âges, mais ce sont des mots d’aujourd’hui… Sept corps se délivrant de l’amnésie, bégayant leur histoire… détails de la vie ordinaire, fragments d’héroïsme, bribes d’événements importuns ou comiques, ruminations métaphysiques… questions, angoisses risibles ou qui nous poussent vers le vide, désordres amoureux, bouts de passions infiniment rejoués comme des rituels étranges… Borderland signe le début d’une œuvre hybride, un jeu permanent fait de contradictions, où fusionnent et se croisent les énergies.