Philippe Polet
Est comédien depuis 1984. Au théâtre, il a joué, notamment, dans des mises en
scène dHervé Loichemol, Rester partir de Bernard Chartreux ; Pierre Debauche,
Comme il vous plaira de Shakespeare ; Jacques Lassalle, Woyzeck de Büchner, Amphitryon de
Molière ; Jean-Louis Hourdin, la Tempête, le Songe dune nuit dété de
Shakespeare ; Saskia Cohen-Tanugi, Technique dun coup détat de Schiller ;
Catherine Anne, les Temps turbulents, les Quatre morts de Marie ; Claude Yersin, Mariage à Sarajevo de Ludwig Fels ; Didier Kerkaert, Clair dusine, de Daniel Besnehard,
Vendredi jour de liberté de H. Claus, la Force de tuer de Lars Noren ; Philippe Crubezy,
lAir du dehors, Aperçus ; Véronique Vidocq, le Chemin du serpent, de Tommy
Lindgren.
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
De 1999 à hier - Philippe Polet
Mon corps en neuf parties
La Presle, Romans sur Isère
CLASSIQUE
Terminé
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De :
Raymond Federman
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Mise en scène :
Didier Kerckaert
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Avec :
Julie Chaubard,
Marie Denys,
Jean-Pierre Duthoit,
Gérald Izing,
Philippe Polet
C’est un montage de textes puisés dans huit des romans de Raymond Federman. Toutes ces histoires sont jouées et mises en scène de manière (apparemment) improvisée. Les poèmes, les chansons, les réflexions sur le métier d’écrivain ou le nazisme, nous évoquent en fait l’histoire d’une partie du XXème siècle. Tout cela est fait de façon débridée, joyeusement bordélique et avec une certaine propension au délire.
La tragédie d'Othello, le maure de Venise
Chaillot - Théâtre national de la Danse, Paris
du 26 janv. au 25 févr. 2001
CLASSIQUE
Terminé
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De :
William Shakespeare
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Mise en scène :
Dominique Pitoiset
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Avec :
Philippe Polet,
Amiran Amiranachvili,
Nadia Fabrizio,
Marc Prin,
Yann Collette,
Richard Piper,
Didier Brice,
Gilles Masson,
Hervé Pierre,
Isabelle Carré,
Alice Millet-Dussin
Après un cycle consacré à des misanthropes et des révoltés - les Alceste, Timon
dAthènes, Oblomov, le Joseph K. du Procès de Kafka, les Franz et Karl von Moor des
Brigands - en lutte contre la suffisance et lhypocrisie de la société courtisane
de leur temps et en prise avec les monstres froids sans visag