De 1985 à 1992, il travaille avec Trudy Kressel et Alexandre Witzmann Anaya, puis avec Luc Petton, Martin Kravitz, Susanne Linke, Stephan Märki, Régine Chopinot, Dominique Dupuy...

En Allemagne, il développe une activité de danseur et de chorégraphe et participe à ce titre à des pièces de théâtre au Deutsches Nationaltheater de Weimar, mises en scène Stephan Märki (Werther de Goethe 2003, Wilhelm Tell de Schiller en partenariat avec la Confédération Suisse, chorégraphie et mise en espace, 2004).

En France, au Théâtre de Chaillot, il chorégraphie et interprète Lucius dans Titus Andronicus de Shakespeare mis en scène par Simon Abkarian en 2003. Il écrit plusieurs soli qu’il regroupe dans une soirée intitulée Regard, regard (2004), des duos avec différents danseurs en France et en Allemagne tels que Variations für 2 tänzer und 2 boxen avec Hans Frederwess (2000), Sous le silence, Et si je m’occupais de toi maintenant avec Paola Piccolo (2002 et 2004), Die Zahl der Liebe ist Drei avec la comédienne Claudia Meyer (2003), des pièces de groupe (Variation für Cage 1999, Bienvenue in Deutchland (2003).

Il crée le Théâtre du Murmure en 2004, chorégraphie une danse pour Mademoiselle Julie de Strindberg, mise en scène de Jacques Falguières ; un duo dansé, Histoire de l’Ombre, qu’il interprète avec le comédien Georges Bigot (2005-06) ; une soirée sur le thème « féminin – masculin » (deux soli, un duo avec Paola Piccolo) ; une performance avec une équipe cadet du club de Rugby de Figeac Capdenac pour le centenaire du club et le festival Derrière le Hublot (2006) ; et une série de petites pièces sur petit espace, Les Danses de poche, avec trois danseurs.

Il est aussi invité dans diverses structures pour y donner stages et master class en France, Italie, Grèce, Allemagne, Portugal... et donne des week-ends pour comédiens à l’ARTA, à la Cartoucherie à Vincennes et au TGP de St Denis. Invité au Costa Rica en 2007, il termine cette année en collaborant de nouveau avec Claudia Meyer pour Bérénice de Racine à Weimar et avec Christophe Feutrier, metteur en scène de Un jour sans de Presniakov, à Paris. En 2008 il collabore à la création de Partage de Midi de Paul Claudel au Festival d’Avignon, et à la pièce de Simon Abkarian Pénélope, ô Pénélope. En 2009 il crée un solo de danse et de théâtre à partir de Hamlet machine de Heiner Müller et participe à Délire à deux d'Eugène Ionesco, mise en scène de Christophe Feutrier. Il joue dans Projet Mata Hari Exécution de Jean Bescos, m.e.s. Simon Abkarian en 2010.