Comment existe-t-on, aujourd'hui, dans cette société sans dessus dessous qu'est devenue la nôtre ? Brinquebalés, arc-boutés, malmenés, insurgés. Sasha Waltz renoue ici avec un spectacle originel.

Ashley Chen, qui fut notamment interprète dans la Merce Cunningham Company et au Ballet national de Lyon, pose la question de danser ensemble, et de la manière dont une chorégraphie commune peut se construire. Poursuivant de manière incessante le mouvement, sans jamais marquer de pause, avec conscience et détermination, jusqu'à l'épuisement, les danseurs exposent leur investissement brut et radical.

Danse de nuit, comme un commando de danseurs opérant à la frontière de l’espace public, cherchant à tester ses limites, à refléter les contradictions qui le façonnent.

Danse de nuit, comme un commando de danseurs opérant à la frontière de l’espace public, cherchant à tester ses limites, à refléter les contradictions qui le façonnent.

Philippe Ménard nous propose de prendre une grande bouffée d’air en s’éloignant des objectifs à atteindre, de la réussite. AIR est une ode aux gestes vains, à la « beauté du geste », non pas au sens chorégraphique mais au sens de l’acte, de l’action.

Mélodies mastiquées, sculptures de voix, mouvement continu d’ingestion, esquissent un horizon collectif et sensuel.

Philippe Ménard nous propose de prendre une grande bouffée d’air en s’éloignant des objectifs à atteindre, de la réussite. AIR est une ode aux gestes vains, à la « beauté du geste », non pas au sens chorégraphique mais au sens de l’acte, de l’action.

La compagnie CFB 451 nous entraîne dans le monde du conte en nous proposant une fable loufoque et contemporaine, écrite pour 9 interprètes : danseurs, circassiens et musicien. Les frères Ben Aïm éprouvent la dualité et la complexité de l’humanité, son côté insouciant et doux tout comme sa part sombre et inquiétante.

La compagnie CFB 451 nous entraîne dans le monde du conte en nous proposant une fable loufoque et contemporaine, écrite pour 9 interprètes : danseurs, circassiens et musicien. Les frères Ben Aïm éprouvent la dualité et la complexité de l’humanité, son côté insouciant et doux tout comme sa part sombre et inquiétante.