Ils se sont donné pour mission d’inspecter un à un les mots de leur langue maternelle – « qui se trouve être le français » – comme s’il s’agissait d’une langue étrangère. Les six leçons inaugurales de ce « programme itinérant d’étonnement linguistique » se déploient aujourd’hui d’amphithéâtres en auditoriums. Pour la sixième et dernière leçon : « révisions ».

Ils se sont donné pour mission d’inspecter un à un les mots de leur langue maternelle – « qui se trouve être le français » – comme s’il s’agissait d’une langue étrangère. Les six leçons inaugurales de ce « programme itinérant d’étonnement linguistique » se déploient aujourd’hui d’amphithéâtres en auditoriums. Pour la troisième leçon : « traité des passions ».

Ils se sont donné pour mission d’inspecter un à un les mots de leur langue maternelle – « qui se trouve être le français » – comme s’il s’agissait d’une langue étrangère. Les six leçons inaugurales de ce « programme itinérant d’étonnement linguistique » se déploient aujourd’hui d’amphithéâtres en auditoriums. Pour la troisième leçon : « comme quoi ».

Ils se sont donné pour mission d’inspecter un à un les mots de leur langue maternelle – « qui se trouve être le français » – comme s’il s’agissait d’une langue étrangère. Les six leçons inaugurales de ce « programme itinérant d’étonnement linguistique » se déploient aujourd’hui d’amphithéâtres en auditoriums. Pour la deuxième leçon : « il pleut ».

Ils se sont donné pour mission d’inspecter un à un les mots de leur langue maternelle – « qui se trouve être le français » – comme s’il s’agissait d’une langue étrangère. Les six leçons inaugurales de ce « programme itinérant d’étonnement linguistique » se déploient aujourd’hui d’amphithéâtres en auditoriums. Pour la première leçon : « maintenant et ici ».

« Voilà une trentaine d’années que sous le nom de Grand Magasin, nous avons une activité publique commune ». C’est ainsi que se présentent Pascale Murtin et François Hiffler, au début de D’Orfèvre et de cochon, l’un des quatre exposés présentés cette saison.

« Voilà une trentaine d’années que sous le nom de Grand Magasin, nous avons une activité publique commune ». C’est ainsi que se présentent Pascale Murtin et François Hiffler, au début de D’Orfèvre et de cochon, l’un des quatre exposés présentés cette saison.

« Voilà une trentaine d’années que sous le nom de Grand Magasin, nous avons une activité publique commune ». C’est ainsi que se présentent Pascale Murtin et François Hiffler, au début de D’Orfèvre et de cochon, l’un des quatre exposés présentés cette saison.

« Voilà une trentaine d’années que sous le nom de Grand Magasin, nous avons une activité publique commune ». C’est ainsi que se présentent Pascale Murtin et François Hiffler, au début de D’Orfèvre et de cochon, l’un des quatre exposés présentés cette saison.

« Voilà une trentaine d’années que sous le nom de Grand Magasin, nous avons une activité publique commune ». C’est ainsi que se présentent Pascale Murtin et François Hiffler, au début de D’Orfèvre et de cochon, l’un des quatre exposés présentés cette saison.