Olivier Salandini

Olivier Salandini

Né en 1977, il étudie l’orgue et le clavecin au conservatoire national de région de Nice avec René Saorgin, Jean-Luc Etienne et Mireille Podeur. Il obtient un premier prix d’orgue en 1998 et un premier prix de clavecin à l’unanimité avec félicitations du jury en 2001.

Il poursuit par la suite ses études de clavecin avec Bob van Asperen au conservatoire supérieur d’Amsterdam, et pour l’orgue il obtient son Master en 2007 au conservatoire d’Utrecht dans la classe de Reitze Smits. Parallèlement il s’est perfectionné auprès d’autres musiciens tels que Jean Boyer, Bart Kuijken, Seibe Henstra et Christophe Rousset.

En 2005 il remporte le deuxième prix au concours européen de clavecin de Bologne, et en 2006 il est successivement lauréat des concours internationaux d’orgue de Lausanne, et de Herford (Allemagne).

Olivier Salandini est organiste co-titulaire des grandes orgues de la basilique Notre Dame de Nice et se produit régulièrement comme soliste ou continuiste dans différentes formations baroques en France et à l’étranger (Italie, Pays Bas, Suisse, Belgique, Allemagne, USA). Il s'est produit notamment à la Chapelle royale à Versailles, à la Kleine Zaal du Concert Gebow d'Amsterdam, au Vredenburg à Utrecht, à Notre Dame de Paris, aux festivals de musique Baroque de Mulhouse de Montbéliard et d'Amilly, au festival de Musique Sacrée de Nice, à la Cathédrale Saint Patrick de New York, à la Nieuw Kerk à Amsterdam etc...

Depuis 2008 il est professeur de clavecin au Conservatoire de Limoges.

En 2011, il joue dans Atys travesti de Denis Carolet à l'Opéra Comique, sous la direction de Jean-Claude Impe.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Olivier Salandini

Atys travesti

Opéra-Comique, Paris

le 14 mai 2011
MUSIQUE & DANSE Terminé
  • De : Denis Carolet
  • Mise en scène : Jean-Luc Impe
  • Avec : Stéphanie Gouilly, Aurélie Franck, Vincent Goffin, Thierry Vallier, Catherine Daron, Danièle Etienne, Olivier Salandini, Jean-Luc Impe
Parmi les diverses parodies créées à l’occasion des nombreuses reprises d’Atys à l’Opéra, l'Atys travesti de Carolet est l’une des plus abouties. Son livret transpose les données du poème de Quinault dans l’univers paysan des environs de Paris. Secondé par des marionnettes, Polichinelle mène la danse et nous entraîne dans un spectacle aussi burlesque que savoureux.