A travers Massiwa, Salim Mzé Hamadi Moissi interroge ce qui fait l’attachement à son pays de culture matrilinéaire et à ses influences arabes, africaines et indiennes. S’emparant à son tour de l’œuvre du compositeur dans Locking for Beethoven, Farid Berki télescope les univers artistiques.

Comment grandit un petit d’homme ? Comment construit-il son identité, de tâtonnements en apprentissages, jusqu’à l’émancipation finale ? Avec sensibilité et poésie, Farid Berki explore le territoire de l’enfance. Dès 6 ans.

Avec Stravinski, Farid Berki n’en est pas à son coup d’essai. Déjà auteur d’un Petrouchka, d’un Scherzo fantastique et d’un Sacre du Printemps, le chorégraphe a développé avec le compositeur russe une familiarité de style et de cœur.

Trois complices convoqués par Farid Berki pour tisser trois pièces chorégraphiques qui s’emboîtent comme des poupées russes dans un univers en trois dimensions. La musique suit le mouvement qui balaie trois époques, de Stravinski aux contemporains, avec un détour par le dessin animé.

Pour le second programme, fidèle à sa démarche d’accompagnement, Cités danse connexions offre à la danseuse de funk style Farah Elmaskini l’occasion de créer son premier solo. De son côté, Nabila Ouelhadj, soucieux de notre bien être et de notre équilibre, convoque trois personnages qui, d’odeurs en envies, de besoin en satiété, danseront un menu chorégraphique idéal.