Qui sont ces jeunes qui, en toute verve et crudité, nous font part de leurs vies bouleversées ? Christine Citti, l’auteure, joue son propre rôle d’intervenante extérieure. Le texte qu’elle a conçu, à l’issue de son expérience dans un foyer de La Courneuve, restitue une langue et une réalité sociale. Une mise en scène de Jean-Louis Martinelli.

Un poème dramatique porté par un personnage qui se confond avec son interprète. Une quête. Un voyage. Un portrait kaléidoscopique d’une môme, d’une femme, d’une époque. Dès 13 ans.

Qui sont ces jeunes qui, en toute verve et crudité, nous font part de leurs vies bouleversées ? Christine Citti, l’auteure, joue son propre rôle d’intervenante extérieure. Le texte qu’elle a conçu, à l’issue de son expérience dans un foyer de La Courneuve, restitue une langue et une réalité sociale. Une mise en scène de Jean-Louis Martinelli.

Mounia Raoui livre ici un texte très personnel, où elle rend hommage à son grand amour, dévorant, exclusif : le théâtre. Cet art « qui ne sert à rien », ce compagnon d’une route tortueuse mais claire, détournée mais libératrice...

Un texte délicat, un peu mélancolique, le quotidien teinté de rêveries d’une petite fille confrontée à la dureté et à la dégradation d’une cité quasi abandonnée, une comédienne captivante, Mounia Raoui, qui allume les mots de L’Entreciel comme des feux pour nous guider dans l’obscurité.

Garçon intelligent, brillant, séduisant, Platonov est tout juste instituteur dans une bourgade. Il plaît aux femmes, trompe d’ailleurs la sienne, soupire après une jeune veuve qui s’apprête à vendre sa propriété, traîne son irrécupérable, son irrésistible détresse : un pur tchékhovien, héros de la première

Catégorie 3 :1 : appellation administrative des exclus, surnom d’un quartier qui, à Stockholm, leur sert de refuge. Là, ils se sentent chez eux.
Attention ! le spectacle a une durée exceptionnelle de 7h30.