Martin Page

Martin Page

Martin Page est né en 1975. Il est l’auteur d’une vingtaine de romans (dont L’apiculture selon Samuel Beckett et La mauvaise habitude d’être soi parus aux éditions de l’Olivier), d’essais (notamment Manuel d’écriture et de survie aux éditions du Seuil) et de livres jeunesse (comme Je suis un tremblement de terre à l’école des loisirs).

Boursier du CNL, il a également été résident de l’Akademie Schloss Solitude de Stuttgart. Son roman La disparition de Paris et sa renaissance en Afrique (éditions de l’Olivier) a obtenu le prix Etonnants Voyageurs. Sous le pseudonyme de Pit Agarmen, il est l’auteur d’un roman fantastique, La nuit a dévoré le monde, adapté au cinéma par Dominique Rocher.

Ses livres sont traduits dans une douzaine de langues.

 

 

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De 1999 à hier - Martin Page

Comment je suis devenu stupide

Le Funambule Montmartre, Paris

du 2 oct. au 23 nov. 2025
1h15
COMÉDIE & BOULEVARD Vaudeville Terminé
  • De : Martin Page
  • Mise en scène : Grégory Baud
  • Avec : Thomas Cauchon, Mylène Crouzilles, Nicolas Délié, Benoît Gourley

Comment je suis devenu stupide est un remède à la bêtise humaine concocté avec une bonne dose d'humour et de fantaisie. À partir de 12 ans

Au-delà de la pénétration

Reine Blanche, Paris

du 21 oct. au 25 nov. 2023
1h10
CONTEMPORAIN Comédie de moeurs Seul(e) en scène Terminé
  • De : Martin Page
  • Adaptation : Isabelle Deffin, Thierry Illouz, Yves Heck
  • Mise en scène : Yves Heck
  • Avec : Yves Heck

Dans cette première adaptation au théâtre du best-seller féministe de Martin Page, un homme, troublé par la sexualité dont il a hérité, s’interroge (et nous avec) sur la pratique de la pénétration comme modèle dominant.

Comment je suis devenu stupide

Manufacture des Abbesses, Paris

du 2 déc. 2015 au 16 janv. 2016
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Martin Page
  • Adaptation : Claire Truche
  • Mise en scène : Claire Truche
  • Avec : Jaufré Saint Gal de Pons
Je n’ai jamais été sportif, les dernières compétitions importantes qui ont fatigué mes muscles sont les concours de billes à l’école primaire dans la cour de récréation. Mes bras, mon souffle court, mes jambes lentes ne me permettaient pas de faire les efforts nécessaires pour taper dans une balle avec efficacité je n’avais que la force de fouiller le monde avec mon esprit. Trop chétif pour le sport, il ne me restait que les neurones pour inventer des jeux de balles. L’intelligence était un pis-aller.