Suite à son succès au dernier Festival d'Avignon, La Chambre des merveilles s'installe à Paris. Une adaptation théâtrale émouvante, drôle et enlevée du best-seller de Julien Sandrel. Jean-Philippe Daguerre fait une nouvelle fois mouche dans une mise en scène enlevée et enivrante, épaulé par une distribution parfaite. Émotion garantie !

L’énigmatique disparition, en mars 1938, du physicien italien de génie Ettore Majorana a suscité bien des questionnements, d’autant plus que plusieurs articles spécialisés paraissent encore, chaque jour, sur les «  quasi-particules » qui portent son nom, et qui pourraient avoir une importance dans la conception des ordinateurs quantiques.

Dans cette mise en scène Jean-Paul Tribout souhaite mettre en exergue la gaité et l'optimisme qui caractérise le texte de Beaumarchais. Elle se veut à l'instar de la pièce, multiple et pétillante, l'univers visuel est inspiré de Fragonard avec ce mélange de sensualité libertine et de légèreté empreinte d'humour que l'on retrouve aussi dans le jeux des comédiens.