Marie Céolin
Marie Céolin
Formée à l’ENSATT, elle a joué dans des pièces classiques comme Britannicus mais aussi contemporaines : Les Bonnes de Genet, La Barque sans Pêcheur de Casona, Toulouse Lautrec, écrit et mis en scène par Maurice Lamy, La Santé des Traîtres, de et avec Macha Orlova, avec la Compagnie Les Yeux qui Sonnent, dans la comédie La Salle de Bain d’Astrid Veillon. Elle joue dans Urss 1970 de et m.e.s. Macha Orlova.
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De 1999 à hier - Marie Céolin
Théâtre Déjazet, Paris
du 20 nov. au 29 déc. 2018
- De : Macha Orlova
- Mise en scène : Macha Orlova
- Avec : Viviane Jauffret, Amélie Chauveau, Victor Bas, Macha Orlova, Didier Forest, Marie Céolin, Jérôme Rodrigues, Jean-Luc Gérard
Bienvenue dans une kommunalka, un appartement communautaire des années 70 en URSS. Un lieu de vie où les repas se font dans une cuisine partagée entre plusieurs familles. Un appartement où la promiscuité est de règle et où l’on peut s’épier tout le temps, sans scrupules. Malgré une cordiale cohabitation, en général, chaque famille rêve de se débarrasser l’une de l’autre.
Petit Gymnase, Paris
du 11 avr. au 27 juin 2016
1h20
- De : Maurice Lamy
- Mise en scène : Maurice Lamy
- Avec : Maurice Lamy, Marie Céolin
Cette pièce montre la face cachée du peintre. Loin des artifices des cabarets, du Moulin Rouge, de la butte, c’est l’homme que l’on découvre non pas face à une toile mais face à lui-même.
Manufacture des Abbesses, Paris
du 1 déc. 2013 au 5 févr. 2014
- De : Macha Orlova
- Mise en scène : Laure Trégouët
- Avec : Macha Orlova, Sarah Gaumont, Patrick Girod, Franck Jouglas, Marie Céolin
En Russie dans les années 70, une famille juive a enfin reçu l’autorisation de quitter le pays. Une histoire haletante et émouvante qui traite d’exil politique, de rêve d’Amérique, de dictature communiste, de peur de la dénonciation, d’antisémitisme d’Etat...
Théâtre Darius Milhaud, Paris
du 8 oct. 2011 au 30 juin 2012
1h20
- De : Maurice Lamy
- Mise en scène : Maurice Lamy
- Avec : Maurice Lamy, Marie Céolin
Cette pièce montre la face cachée du peintre. Loin des artifices des cabarets, du Moulin Rouge, de la butte, c’est l’homme que l’on découvre non pas face à une toile mais face à lui-même.
