Un homme meurt, et un royaume s’effondre. Que faut il faire ? A travers cette fable, Ionesco interroge les vivants sur leur condition de mortel, il invite le spectateur à l'incroyable cérémonie de la mort. Nous sommes la Compagnie Jean Balcon. Nous avons trente ans, notre royaume s’effondre, et nous avons bien l’intention de nous battre.

Brossées par l’immense poète gallois, vingt-quatre heures de la vie d’un village dont la population entière, haute en couleurs, entre sommeil et veille, déverse sur un mode poétique proche du surréalisme et de l’absurde un flux ininterrompu de cancans, de confidences, d’aveux jusqu’aux secrets les mieux gardés. Stuart Seide réaffirme avec ce choix son goût pour un répertoire anglo-saxon poétique, populaire et résolument choral.

Brossées par l’immense poète gallois, vingt-quatre heures de la vie d’un village dont la population entière, haute en couleurs, entre sommeil et veille, déverse sur un mode poétique proche du surréalisme et de l’absurde un flux ininterrompu de cancans, de confidences, d’aveux jusqu’aux secrets les mieux gardés. Stuart Seide réaffirme avec ce choix son goût pour un répertoire anglo-saxon poétique, populaire et résolument choral.

Kathrin Röggla a enquêté auprès de personnes endettées issues de différents milieux sociaux et elle en a tiré un réquisitoire mordant, du répétitif à l’absurde, de la farce au drame. Eva Vallejo et Bruno Soulier s’emparent de cette écriture chorale pour construire une vibrante polyphonie de mots, de sons et de gestes, qui se fait l’écho de notre monde contemporain.

Kathrin Röggla a enquêté auprès de personnes endettées issues de différents milieux sociaux et elle en a tiré un réquisitoire mordant, du répétitif à l’absurde, de la farce au drame. Eva Vallejo et Bruno Soulier s’emparent de cette écriture chorale pour construire une vibrante polyphonie de mots, de sons et de gestes, qui se fait l’écho de notre monde contemporain.

Dejan Dukovski appartient à une génération qui a commencé à écrire pendant ou après la récente guerre des Balkans. En européanisant ses références, le Macédonien réussit à élargir voire à universaliser l’apocalypse très concrète vécue par son peuple et les peuples voisins en ces années de guerre. Avec les élèves de la 2eme promotion de l'EPSAD.